Le Venezuela a été dirigé longtemps par les partis de droite qui sont représentants des élites de 1958 à 1999, dans le processus qui suis l'émergence de Chávez, on témoins des discours anti-américains, les soutiens variés au système mondial multipolaire et les efforts pour devenir indépendant dans les affaires intérieures sur la scène nationale et internationale.
Il est clair que les pas pour unifier l’Amérique latine, les idéals bolivariens, les discours anti-américains, l’idée d’Etat social et le rêve d’indépendance de la révolution bolivarienne en tant que conséquence négative du « Washington Consensus » et « le Pacte de Puntofijo », en plus de ceux-ci, les effets de diffusion de cette idée aux autres pays de l’Amérique latine, ont menacé les intérêts et l’existence des Etats-Unis. Dans ce cas, les Etats-Unis avaient pris des actions comme d’habitude et utilisé les moyennes d’interventions.
Table des matières
Résumé
INTRODUCTION
I) LA MISE EN PLACE DE L’ETAT BOLIVARIEN
1.1) Le Processus allant a l’Etat Bolivarien
1.11) Les objectives de Chavez dans le cadre de la politique extérieure et intérieure
1.11.1) le Pétrole et la Rélation d’Alliance
1.11.11). la Rélation avec le Brésil
1.11.111). la Rélation avec l’Argentine
I.II.IV) la Rélation avec la Bolivie
1.111) Organisations régionales et l’idéal de l’unification du continent latine
I.IV) Les Points convergents entre Chavez et Simon Bolivar et l’Effort d’Indépendance contre les Etats-Unis
I.IV.I) Les Points Convergents entre Chavez et Bolivar
I.IV.II) Les Actions économique indépendantistes
II) Facteurs légitimant l'intervention américaine
III) La Forme de l’Interventionnisme américaine
111.1) La média en tant que moyen d’intervention
111.1.1). La Structure et le Caractéristique du Média vénézuélien entre 1999-2013
111.1.11). Le Role du Média pendant le coup d’Etat en 2002
111.1.111) Le Role des Etats-Unis sur le média vénézuélien
111.11) Le Coup d’Etat de 2002 et la suite
111.111) Après le Coup d’Etat, les Actions d’Opposition
III.IV) New Tribes Missions et l’Impérialisme culturel
III.V) Le Promotion de Démocratie et le NED
III.VI) D’Autres actions menées par les Etats-Unis
III.VI.I) L’affaire d’indemnisation contre la nationalisation de pdVSA
III.VI.II) Inclusion du Venezuela dans la liste des «Etats terroristes»
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
Livres
Articles
Documentaires
Sites Internet
RESUME
LA FORME DE L’INTERVENTIONNISME AMERICAIN AU VENEZUELA EN TANT QUE CONSEQUENCE DE LA REVOLUTION BOLIVARIENNE PENDANT LA PERIODE PRESIDENTIELLE DE CHAVEZ.
Le Venezuela a été dirigé longtemps par les partis de droite qui sont représentants des élites de 1958 a 1999, dans le processus qui suis l'émergence de Chavez, on témoins des discours anti-américains, les soutiens variés au système mondial multipolaire et les efforts pour devenir indépendant dans les affaires intérieures sur la scène nationale et internationale. Il est clair que les pas pour unifier l’Amérique latine, les idéals bolivariens, les discours anti-américains, l’idée d’Etat social et le reve d’indépendance de la révolution bolivarienne en tant que conséquence négative du « Washington Consensus » et « le Pacte de Puntofijo », en plus de ceux-ci, les effets de diffusion de cette idée aux autres pays de l’Amérique latine, ont menacé les intérets et l’existence des Etats-Unis. Dans ce cas, les Etats-Unis avaient pris des actions comme d’habitude et utilisé les moyennes d’interventions.
INTRODUCTION
Cette recherche essaye d’expliquer tout d’abord le développement réalisé suite â Washington Consensus qui impose les politiques néo-libérales et le pacte de PuntoFijo qui a aidé a protéger le statuquo des riches vénézuéliens et qui a formé un système de gouvernement composant des parties de droits.
Avec cela, cette recherche explique les discours anti-américanistes, les sanctions contre les Etats-Unis, la contribution de Chavez pour le développement d’un bloque anti-américain et pour le système international multipolaire. De plus, dans cette recherche on verra que le pétrole est un moyen de développer les rélations internationales particulièrement pour un Amérique latine unique. On constatera cependant que ces efforts de Chavez prouve qu’il évite de partager le meme destin que Fidel Castro.
Tout au long de cette recherche, dans l’intention de comprendre la forme de l’interventionnisme américaine, on a expliqué les moyens d’intervention américaine comme la manipulation des infos, le prétexte des droits de l’humain, de la démocratie et de la liberté. De plus, on a examiné leur culture de la politique extérieure, pour voir la structure interventionniste des Etats-Unis. Avec cela, on a réalisé que tous ces moyens peuvent se considérer comme les memes moyens de l’opposition vénézuéliens. L’exemple le plus explicatif nous est fourni par le cas des actions de média pendant le coup d’Etat de 2002.
On a témoigné plusieurs fois le phénomène de soutenu des coup d’Etat par les Etats-Unis dans l’histoire. Ici on voit d’autre exemple concrete de cela : le coup d’Etat de 2002. Cet événement nous montre une fiction bien préparée pour saisir le gouvernement et nous montre aussi l’utilisation de l’opposition comme un moyen d’intervention des Etats-Unis.
Cette recherche a pour but de constater que Venezuela a tiré de quelles actions et au quel frequence de l’interventionnisme américain qui compose principalement « des sanctions économique », « des interventions militaires » , « des interventions aux affaire intérieure d’un pays », « les organisations non gouvernemental fonctionné pour les intérets » , « les rapports publiés qui incluent les pays dans la catégorie » et « l’utilisation de l’oppositions contre les gouvernement en question » Ce sont les raisons pour lesquelles, on verra la forme changée de l’interventionnisme américaine, suite a la révolution bolivarienne dans cette recherche. Ici, notre problèmatique se présente : Est-ce que les Etats-Unis ont augmenté la frequence d’intervention au Venezuela pour protéger des intérets existants pendant la période présidentielle de Chavez qui s’oriente vers la politique sociale-démocratique ? Pour répondre a cette problèmatique, on a créé une hypothèse essentielle, celle-ci : Etant donné que le Venezuela ne crée pas une grande menace, les Etats-Unis avait intervenu au Venezuela au niveau minimum. D’autre hypothèse qu’on a mise en avant ; c’est : En tant que pouvoir hégémonique, d’un coté, les Etats-Unis avaient intervenu au Venezuela au moyen de la sanction économique, du média et de l’opposition. D’un autre cöté, ils entretiennent des relations économiques avec le Venezuela.
Finalement, la troisième hypothèse : Pour les Etats-Unis, sauf les buts géopolitiques, politiques et économiques, il faut endiguer la mise en place d’une union en Amérique latine et un rival potentiel. Du fait que la revolution bolivarienne a un but d’unifier le continent de latins, il faut au début intervenir a cette idéologie en utilisant la manipulation de média.
I) LA MISE EN PLACE DE L’ETAT BOLIVARIEN
Il faut d'abord constater les particularités de l'Etat Bolivarien pour expliquer mieux la forme de l'interventionnisme américaine au Venezuela. Et dans cette dimension-la, il sera correct, pour montrer la mise en place de la 5ème République, de traiter l'histoire politique de Venezuela a partir de la période ou la démocratie importée par les Etats-Unis (Pacte de PuntoFijo) De plus, on examinera les politiques extérieures et intérieures de Venezuela de l'époque pour déterminer les facteurs menagants contre les Etats-Unis.
I.I) Le Processus allant a l’Etat Bolivarien
En 1958, suite a la démission du dictateur Jimenez (Il a perdu la confiance des Etats-Unis1 ), les trois grands partis politiques (Accion Democratica,le COPEI et l'URD) avaient arrangé l'élection universelle en acceptant le principe de la stabilité politique qui a été proposé dans le cadre du pacte de PuntoFijo.
Ce pacte de démocratie contractée avait fondé la démocratie en Venezuela mais sans parties politiques de gauche.
Après le pacte, la souveraineté a été partagé a travers ces 3 parties politiques pendant longtemps .Encore dans la période allant de 1958 a 1999, le candidat présidentiel de Accion Democratica, Romulo Betancourt, fait interdire la partie communiste de Venezuela et Mouvimiento de Izquierda Revolucionaria dans lesquels les guérillas socialistes influencés de la révolution cubaine se trouvent. De plus, Romulo avait mis les juifs et les cubains en exile dans l'organisation de la police secrète pour etre fort contre les socialistes2.
Après avoir empeché les mouvements socialistes, le reve d'etre « Venezuela Saudita » a été désiré du fait que les revenues pétrolières ont progressivement été augmenté, vu la crise pétrolière de 1973. Et CAP a décidé de nationaliser les champs pétroliers en créant « Petroleos de Venezuela » dans la condition de réserver %40 de ceux a la disposition du secteur privé.
Dans les années 80, le revenu de pétrole, c’est ce que la revenue unique satisfait les besoins de l’Etat, a été diminué de manière a ce qu’il cause les problèmes politiques et économiques. Après s’etre passé les événements d’El Caracazo, CAP avait dit que ce petrostate ne fonctionnait pas bien, la rente provenue du pétrole n’était pas suffisante et l’investissement étranger était un besoin. De plus il avait dit que le röle du gouvernement diminuerait dans l’économie3. C’est-a- dire que le paquet néolibéral (El gran viraje4 utilisé pour décrire ce paquet) est encore parait nécessaire pour CAP après el Caracazo.
Ce paquet néolibéral imposé a été planifié en 1989 par John Williamson qui était consultant de IMF dans les années 70. Le but ici c’est de former le mécanisme économique intérieur des pays en Amérique latin ayant les dettes de facon a ce que ces pays paient leurs dettes aux banques des Etats-Unis5. Dans cette dimension-la, dans le Movimento Bolivariano Revolucionario-200 crée par Chavez , le figure de Simon Bolivar qui « a le caractère faisant libérer les peuples mais n’étant pas libérale6 » utilisé contre l’idée de la néo-libéralisme de CAP.
L’étape le plus important dans le processus de la mise en place de l’État Bolivarien, ce sont indéniablement les événements d’El Caracazo pendant lesquels les pauvres souffrent du néo- libéralisme ont commencé a piller Caracas. El Caracazo est mis en place suite a l’augmentation de la taxe par l’augmentation de la parité petro/dollar, si bien que le prix du ticket de bus a accru %100. Dans un reportage du documentaire ‘’Inside the Revolution’’, un témoin indique :
« Une femme a essayé de prendre le bus, Quand elle refuse de payer le nouveau prix du ticket de bus, le conducteur l’a poussé .Quand le conducteur la pousse, les autres passagers qui ont eu assez de hausses de prix dans le service, le transport et tout ce qui s'est levé de leurs sièges et a attaqué le bus avec des bâtons. Puis l’a tourné â l’envers et l’a brülé. Le truc c'est que la média qui cherche du sang et des rapports sensationnels suis allé â Guarenas et a commencé â diffuser ce qui s’est passé lâ. Quand les personnes ont vu ce qui s’est passé â Guarenas, les choses cependant provoquent ici, â Petare...Et quand ca commence â Petare , ca provoque Catia et dans tout Caracas jusqu’â celui qui se propage â chaque part du pays7. »
Le bilan était lourd ; au moment ou les riches s’étaient protégés des pillage dernière la sécurité et la cloture hausse, le conflit s’était passé entre les pauvres et les personnes de middle-class et il s’agit des milliers de morts. Cependant, ces évènements ont fait ralentir la privatisation et l’application des projets néo-libéral jusqu’â l’impeachement de CAP et Chavez a doublé ses efforts pour son plan bolivarien.
En 1992, par la suite des cas que l’on a énuméré, le colonel Chavez n’a pas capturé Caracas pendant la tentative de coup d’Etat. Après il a demandé que le gouvernement lui donne une opportunité de faire un discours devant la télévision en direct pour prévenir d’autres situations sanglantes a réaliser8 (Au contraire, l'ancien ministre de la Défense Ochoa a dit que la décision avait été pris de sa propre initiative9.). Perez a accepté cette proposition et voulait qu'Ochoa soit sür que Chavez est enregistré en ligne10. C'est son discours télévisé après le coup d'État qui a finalement conduit a son triomphe politique.11 Et dans la télé, Chavez dit :
« Camarades, malheureusement pour le moment (por ahora,c’est devenu le slogan ), les objectifs que nous nous étions fixés n'avaient pas été atteints dans la capitale12.»
Grâce a ce discours, Chavez est devenu héro pour les gens marginalisés et pauvres a qui sont nuits par les politiques néo-libérales13.
Dans la meme année, Perez a confronté a une nouvelle tentative de coup d’Etat et est appelé a la cour supreme pour le détournement de fonds publics. En plus il a été expulsé de son parti politique ‘’Accion Democratica’’. Il est évident que le système politique bipartist formé de COPEI et Accion Democratica avaient terminé. Le president Caldera, en réalisant le pouvoir de Châvez, avait fait libérer Châvez de prison14.
Il est nécessaire aussi d'examiner de la campagne présidentielle de Châvez pour qu'on puisse voir le développement de discours anti-américain et anti-libéral. Au début, Il a dit de ne pas payer la dette extérieure de 22 milliards de dollars, de faire augmenter l'aide sociale et de fournir l'aide économique pour le nutriment essentiel et les médicaments contrairement â ce que les principales néolibérales ont proposé. Néanmoins c'est assez intéressant que dans l'époque de Bill Clinton, avant que Châvez soit élu, les Etats-Unis n'ont pas donné le visa â Châvez sous prétexte de la tentative de coup d'État de 199215. En ignorant plusieurs coup d'Etat supporté par les États-Unis.
Après la victoire électorale écrasante, Châvez a fait préparer le projet de constitution pour créer l'Etat Bolivarien, accepté avec 71% lors d'un référendum en décembre 1999. Le premier article de la Constitution de 1999 indique que le nouveau pays suit la doctrine bolivarienne :
« La République Bolivarienne du Venezuela est irrévocablement libre et indépendante et fonde son patrimoine moral et ses valeurs de liberté, d'égalité, de justice et de paix internationale, dans la doctrine de Simon Bolivar,le libérateur16. »
Cette constitution cependant souligne la fin du pacte « PuntoFijo » et « Washington Consensus » qui ont causé plusieurs problèmes socio-économique.
I.II) Les objectives de Chavez dans le cadre de la politique extérieure et intérieure
L'objectifs principaux de la politique extérieure de l'État bolivarien se basent sur le pétrole, l'indépendance, l'aide â l'ordre mondiale multipolaire (en collaboration avec la Chine, la Russe.), l'intégration régionale (comme exemple ; ALBA) anti-impérialisme et anti- américanisme.17 Cependant, le socialisme pour lequel la révolution s'est fagonnée n'en fait pas partie. Au lieu du socialisme, il s'agissait du socialisme de 21ème siècle ou ga peut s'appeler le 3èmevoix qui est considéré comme une alternative contre le socialisme et le capitalisme.
Chavez cependant était chanceux dans la scène internationale. Lorsqu’il a été devenu le président, il y a eu les peuples des Etats latines qui échappent au néo-libéralisme et a Washington Consensus. De plus, il existait les pays rivaux des États-Unis comme la Chine et la Russe qui sont a la hausse et l'Iran qui est complétement anti-américain. Il faut pourtant souligner que Chavez avait l’arme de pétrole comme un moyen de développer des relations internationales18.
Dans cette section-ci, on examinera les piliers de la politique extérieure du Venezuela. Ces piliers sont la relation d’alliance et l’arme de pétrole dans celle-ci, la position renforcée dans les institutions internationales et les actions pour l’indépendance contre les Etats-Unis.
I.II.I) Le pétrole et la rélation d’Alliance
Le Pétrole était crucial pour l'élaboration des politiques ; comme exemple dans le processus d’élaboration des relations avec l'Argentine, le Bolivia, le Brésil, la Chine etc. Ils sont tous devenus des objets de la rélation pétrolière. Encore, ca nous montre que c'est l'un des efforts dans l’intention de ne pas partager le meme destin du Cuba, de Fidel Castro. Si bien que Chavez avec ses discoures anti-américaines, a utilisé le pétrole pour ses intentions19. Dans le processus de rélation d'alliance se basant l'anti-américanisme, le désire de la création d'un monde multipolaire a été déclenché. Dans ce cas, afin de se protéger des attaques états-uniennes et d'assurer la balance internationale, Chavez s'est profité de ses relations avec la Chine (la relation économique se basant sur le pétrole) et la Russe (la rélation militaire)20. De plus il a assuré la rélation avec l'Iran qui est ennemie des États-Unis. Dans les sub-section suivants, on examinera juste les rélations avec certains pays de latin Amérique du fait qu'ils ont partagé presque le meme concept : l'ennui des politiques états-uniens.
I.II.II) La rélation avec le Brésil
Lorsqu'il est arrivé au pouvoir, Il a planifié l'unification de pdVSA avec la compagnie pétrolière brésilienne. De plus, a San Paola, il souligne son intention de créer PétroAmerica qui couvre tous les pays en Latin Amérique et grâce a la création de PétroAmerica, l’Amérique latine serait l'épicentre de l'énergie. Cependant on doute que cette politique est réaliste car il y a eu une grande puissance au Nord.21. D'autre idée abordée par l'idéal d'etre épicentre, c'est l'idée de l'unification de Latin Amérique comme Bolivar avait idéalisé. C'était plus important que l'économie. Dans cette perspective, on remarque que Bolivar et ses idéals ont beaucoup d’influence sur Chavez.
D'un cöté, le pire pour les États-Unis, c'était l'idée d'OPEC d'Amérique latine. Dans ce cas, l'Axe entre le Brésil et le Venezuela dépassent des limites déterminées par les politiques des Etats-Unis. Mais pourquoi Lula de Silva et Chavez ont dépassé des limites ? L'exemple le plus explicatif nous est fourni par leur caractéristique ; ils étaient les deux représentatives des peuples qui souffrent du néolibéralisme, chaque deux leaders pensaient que la politique imposée par États-Unis avait et aurait causé des pires résultats pour le tiers-monde. D'un autre cöté, il y a la question : pourquoi les États-Unis n'avaient pas utilisé l'intervention militaire ou la force effectif pour endiguer le cas ? On peut répondre cette question en donnant l'exemple des rélations crées avec les pays comme la Bolivie, l'Equateur, le Nicaragua et l'Argentine et bien sür le Cuba. Donc, quand Chavez décidait de prendre des décisions, il faisait attention a la balance dans la scène internationale. Plutöt, il a trouvé la conjoncture plus convenable que le Cuba et Fidel Castro22
I.II.III) La rélation avec l’Argentine
La Rélation entre Chavez et le Président de l'Argentine Néstor Kirchner, est un pas crucial dans le processus de création des rélation d'alliance de Chavez. Dans la période allant de 2003 a 2007, il s'opposait a « Washington Consensus » et au néolibéralisme comme Lula de Silva et Chavez23.24 25 26 Kirchner s'est focalisé sur les compagnies nationales pétrolières comme Chavez. Du fait que l'économie de l'époque allait mal, Kirchner a tapé dans le mille et il est devenu protagoniste en créant ENARSA (une institution publique de carburant comme pdVSA) a conditions d'offrir %47 d'ENERSA a la disposition du secteur privé. La convergence politique entre ces deux leaders était a la hausse au point qu'ils ont décidé de former une collaboration entre pdVSA et ENARSA. De plus, ils ont tellement développé leur relation que l'Argentine exportant le carburant, a commencé a l'importer. Cette rélation est important car le dollar a été Ici, on témoigne encore une fois la politique économique « food-for-oil ». Et cette politique serait rentable pour la Bolivie car ce pays n'est pas autosuffisant comme Venezuela et elle a besoin d'aide étrangère. Dans ce cas-la, le Venezuela a fourni 150.000 barils de diesel carburant et a offert 30 millions de dollar en échange des produits agricoles27.
D'autre exemple, ce qui est symbolique et considérable, c'est le réplica de l'épée de Simon Bolivar qu'a donné Evo Morales comme Lula de Silva et Morales a déclaré d'accompagner Fidel et Châvez dans le cadre d'idéal d'échapper aux Etats-Unis en Amérique latine28.
Un autre point convergeant nous est fourni par le cas de position dans la scène internationale. La raison pour laquelle Evo Morales s'est opposée a la FTAA était que les producteurs agricoles boliviens seraient affectés négativement. De plus, la Bolivie a été le candidat a ALBA jusqu'a ce que le coup d'Etat se déroule en 2019. Cependant, Evo Morales a désiré l'expropriation des institutions crucial au nom de l'indépendance des occidentaux comme le sujet de télécommunication. Morales dit :
« L'expropriation des ressources naturelles de la Bolivie a modifié les bases économiques de la Bolivie. Comme vous le savez, toutes ces services sont les droits fondamentaux selon la Constitution. Nous avons procédé â l'expropriation dans les secteurs de l'eau, des télécommunications et de l'énergie dans ce domaine. Je voudrais donner un exemple sur la télécommunication : Avant l'expropriation, elle créait un revenu de 70 millions de dollars et ce montant (70 millions) allait â l'Italie et â l'Europe. En dehors de cela, il y a 389 regions locales en Bolivie, mais seulement 60 de ces régions locales utilisait le téléphone. Bien sür, après l'avoir nationalisé, nous l'avons diffusé dans tout le pays et maintenant il y a un revenu de 150 millions de dollar. Alors que nous l'avons nationalisé, la société italienne nous a demandé une compensation d'un milliard de dollars. Et nous avons négocié et payé 100 millions de dollars29. »
Comme vous le voyez, c'est l'un des exemples que pourquoi Washington Consensus avait échoué.
Dans la perspective de Châvez et le processus de former un pouvoir rival en Amérique latine, c'était une étape réussie pour Châvez de trouver un équilibre contre les États-Unis en développant des collaborations avec les pays alliés comme l'Argentine et le Brésil qui sont riches en ressources souterraines et ceux qui se soutiennent dans leur discours, comme Cuba et la Bolivie.
La politique de « food-for-oil » et la tentative de réduire l'utilisation des dollars nuisent également a l'hégémonie du dollar. Cependant, Chavez a fondé sa stratégie de politique extérieure sur la notion « anti-américanisme » Et avec cette notion, il a pour but de créer une politique étrangère indépendante (commerce sans dollar), une vision du monde multipolaire (relations d'alliance avec des puissances telles que la Chine, la Russie, l'Iran), l'intégration regionale (donnant le réplica de l'épée de Simon Bolivar a Lula de Silva) et des organisations internationales (ALBA).
I.III) Organisations régionales et l’idéal de l’unification du continent latine
Le Venezuela a été le pays qui a le plus élevé la voix a cet égard en s'opposant au projet de Zone de libre-échange interaméricaine (FTTA) en 2005. C'est un accord qui a fait l'objet de nombreuses critiques, meme dans un discours prononcé a Miami pour sa creation, les propos de Bill Clinton ont été critiqués, l’un des exemples de discours de Bill Clinton :
« Maintenant, nous pouvons dire que le reve de Simon Bolivar est en train de se réaliser dans toutes les Amériques30. »
Chavez a cru que le président américain avait perverti et déformé le sens historique de son héros, la vie de Simon31.
Chavez pensait sur FTAA :
“Le FTAA est une institution ou la souveraineté est abusée, un plan impérialiste et colonial. La raison pour laquelle nous sommes devenus membres du FTAA était que le Venezuela faisait déja partie des membres du Sommet Américain lorsque nous sommes arrivés au pouvoir.32.”
Chavez et Castro ont développé une organisation différente contre le FTAA ; tandis que le Cuba, le Venezuela et le Nicaragua sont toujours des Etats membres, la Bolivie a quitté cette organisation avec la chute d'Evo Morales en 2019, et le Honduras s'est retiré des activités de l'ALBA en 2018 et l'Équateur en 2018 avec le coup d'État. Il est clair que l'ALBA est une organisation importante établie contre les États-Unis. Cependant, le traité d’ALBA, qui contient des questions très importantes tel que le partenariat dans le domaine militaire et la banque, a été élaboré pour empecher les interventions des États-Unis vers le continent. Une autre importance cruciale de l'ALBA, c'est ce qu'elle a sauvé Cuba de la solitude politique33.
D'autre part, des organisations telles que le MERCOSUR (Le Marché commun du Sud) et CELAC (Communauté d'États latino-américains et carai'bes), qui ont été créées pour équilibrer NAFTA, sont un autre facteur qui affecte négativement les États-Unis. Les objectifs de ces institutions : l'intégration regionale, la coopération politique et le développement durable34. Actuellement l'adhésion du Venezuela en MERCOSUR a été suspendu étant donné les problèmes politiques dans le pays. Et il faut souligner qu'en 2010, Hugo Châvez était le co- président de CELAC avec le président du Chili.
I.IV) Les Points convergents entre Chavez et Simon Bolivar et l’Effort d’Indépendance contre les Etats-Unis
Le leader de la révolution bolivarien avait bien sür les particularités et les principaux de Bolivar. Dans ce perspective-ci, quand Châvez parlait au public, il a beaucoup de fois, cité les discours de Bolivar inclus l'indépendance des impérialistes. Mais indépendamment a Bolivar, Châvez ne préférait pas l'un des impérialistes contre l'autre, il chercher la balance en élaborant des politiques étrangères parmi plusieurs pays. Dans cette section, on examinera les points communs entre Châvez et Bolivar. De plus, les actions contre les Etats-Unis et les occidentaux a l'intérieure de Venezuela sera un autre sujet parlé.
I.IV.I) Les Points Convergents entre Chavez et Bolivar
Comme on avait indiqué dans la section dernière, la creation de l'ALBA a été un fruit de la stratégie de Châvez pour former une alliance dans laquelle l'anti-américanisme et la désire d'un monde multipolaire sont les piliers. De plus, cette stratégie de Châvez a été fortifié par la relation fortifiée avec le Brésil et de l'Argentine.
D'autre objectif le plus important c'est la formation d'un système monétaire de l'Amérique latine et d'une organisation militaire qui contient tout le continent. A savoir, l'organisation comme le NATO, la zone monétaire comme l’Union Européen. Done, on remarque que c’est presque similaire avec la désire de Bolivar.
Bolivar qui est un élit de créole (ce mot d’origine espagnole indique la race européenne.) alors que Chavez portait le sang d’indigène. Mais ces deux hommes d’origine différente ont servi au people de la meme manière. Bolivar voulait échapper aux Espagnoles, tandis que Chavez voulait se débarrasser de l’hégémonie des Etats-Unis. Et Bolivar désirait l’égalité entre les races en question, alors que Chavez se combattait les représentants actuels de cette discrimination raciale du passé. Sur le sujet en question, Bolivar avait dit :
« Tous ces gens peuvent se distinguer par leur couleur de peau, ce qui signifie une résponsabilité crucial pour nous35.»
Ce discours peut se considérer comme la prévision de ce qui se passera au futur. Parce que quand on jette un coup d’oeil sur la différence raciale entre les riches et les pauvres, on verra qu’il y a toujours la discrimination comme un professeur de l’Université de Georgia dit :
« Si vous regardez les niveaux socio-économiques supérieurs du pays, ils ont tendance a etre plus blancs qu'aux niveaux socio-économiques inférieurs. C'est le phénomène qui est très apparent pour tout le monde36. »
De plus, comme on parlera dans les sections suivantes, les élites considèrent les gens de cette classe comme paresseux et bandits qui veulent voler les bien des riches.
Chavez, il a voulu fini cette discrimination. L’idée d’égalité, de liberté et la confiscation de l’entreprise pétrolière des Créoles (le déclencheur du coup d’Etat de 2002) devraient se réaliser. Idéologiquement l’idée de Chavez s’est convergée sur celle de Bolivar. Bolivar dit :
« Les etre humaines naissent avec le droit de partager également les avantages de la société37.»
En tant qu’un leader qui avait été influencé par les idées de Siècle des Lumières, Bolivar, il supportait a la fois le despotisme éclairé et la démocratie38. On ne sait pas s’il y a des traces d’Absolutisme éclairé chez Chavez, mais en 1992, lorsqu’il entreprend un coup d’Etat, Chavez a une tendance de gouverner le pays sans voir la volonté populaire. Quand on vient en 1999, cette fois, l’opposition n’est pas démocratique tandis que Chavez était démocratique.
Dans la plupart des ressources, il est possible de trouver que Bolivar a apporté des appuis des pays occidentaux pour se débarrasser des espagnoles. Qa se voit comme «pour s’émanciper d’un impérialiste, obtenir le soutien d’un autre impérialiste. ». Cependant, en tant qu’un successeur de Bolivar, Chavez s’est efforcé de ne pas faire la meme faute. Il a refusé d’etre exploité par d’autre mais en meme temps, il a suivi un politique de « soft balancing ». A savoir le pays moins développé (Venezuela) nuit a un pays plus développé (les États-Unis) en endiguant et affaiblissant ses politiques extérieures39. Comme on a dit et aura dit, cette politique d’affaiblissement et de blocage a réalisé de la quelques différentes manières comme exemple : le projet de l’union pétrolière en Amérique latine ou les efforts pour mettre en place une Amérique latine forte qui s’est débarrassé des États-Unis. Tout ce qu’on a énuméré bien sür n’a pas réalisé mais ga a été marché ne serait-ce que pour effrayer et déranger les Etats-Unis.
I.IV.II) Les Actions économique indépendantistes
Au premier plan, Venezuela a pris l’action contre les entreprises états-uniennes sur le sujet d’alimentation. C’était un grand pas parce que le plus grand fournisseur des usines états-uniens dans les secteurs le café, la banane, le lait et le cacao, c’est l’Amérique latine40.
Deuxièmement, au nom de Emancipation économique, le Venezuela a confisqué Exxonmobil, ConocoPhilips d’origine états-unien et Total et BP d’origine européenne en 2007. En réponse de cette confiscation, plusieurs affaires d’indemnisation se sont commencées. Cependant, les raffineries de pétroles qui se trouvent aux Etats-Unis s’est fermées. De plus, la distribution de pétrole aux pauvres citoyen états-uniens s’est intéressement commencée41.
[...]
1 Vaca N.,Hugo, De Bolivar a Chävez: Hacia la segunda independencia,Documentaire,Argentine,2009,68 minutes.
2 GOTT Richard, Hugo Chavez ve Bolivarci Devrim, Londra,Yordam Kitap,2005,p.47.
3 Ibid, p.60.
4 DEMIREL Ege , « Dis Müdahale Olgusu Kapsaminda ABD-Venezuela iliskileri », Article, Marmara Üniversitesi Öneri Dergisi - Volume 15, Numéro 53, Janvier,2020, p.44.
5 GOTT Richard, op. cit., p.61.
6 LYNCH John, Simon Bolivar, Londre, Türkiye is Bankasi Kültür Yayinlari,2006, p.11.
7 NAVARRETE,Pablo, Inside the Revolution: A Journey into Heart of Venezuela,Documentaire, Alborada Films, 2009,65 minutes.
8 GOTT Richard, op. cit., p.77.
9 GIBBS,Stephen, Ahead of Venezuela's elections,. Rapport Historique,4:30 minutes.
10 Idem.
11 KOZLOFF,Nicolas, Hugo Chävez: Oil, Politics, and the Challenge to the U.S., Hampshire , Google Play Kitap ,2006,p.72.
12 GIBBS,Stephen, op. cit.
13 KOZLOFF Nicolas op. cit., p.74.
14 Ibid, p.72-73.
15 KOZLOFF,Nicolas op. cit., p.74-76.
16 Constitution of the Bolivarian Republic of Venezuela, https://mjp.univ-perp.fr/constit/ve1999.pdf ,(Site consulté dernièrement en mai 2020.)
17 DEMIREL Ege , op. cit., p.48.
18 Idem, cité par KAYA, E. , « Hugo Chavez’in petrol politikasi ve ABD » in SDÜFen Edebiyat Fakültesi Sosyal Bilimler Dergisi, (31) ,2014 ,pp.193-208.
19 KOZLOFF, Nikolas , op.cit., p.139.
20 DEMIREL, Ege, op. cit., p.50.
21 KOZLOFF, Nikolas , op.cit., pp. 140-141.
22 DEMIREL Ege, op.cit,, p.52.
23 KOZLOFF Nikolas , op.cit, p.153.
24 KOZLOFF Nikolas , op.cit, p.153.
25 KOZLOFF Nikolas , op.cit, p.153.
26 KOZLOFF Nikolas , op.cit, p.153.
27 KOZLOFF, Nikolas , op.cit., p.222.
28 Ibid. ., pp.223-224.
29 Evo Morales, la conference de LAMER.
30 KOZLOFF, Nikolas , op.cit., p.53.
31 Ibid, pp.55-56.
32 DEMIREL Ege , op. cit., p. 53, cité par Guevara, A., Chävez Venezüella ve Yeni Latin Amerika, istanbul,2013, Yar Yayinlari.
33 Idem.
34 Ibid, p.52, cité par Keskin, M. « ABD'nin müdahaleci dis politikasi : Latin Amerika örnegi », in Baris Ara$tirmalari ve Calisma Cözümleri Dergisi, 2016.
35 LYNCH John , op. cit, p.353.
36 HILLEARY Cecily, « Are Race and Class at the Root of Venezuela’s Political Crisis? »,2014. https://www.voanews.com/americas/are-race-and-class-root-venezuelas-political-crisis, (site consulté dernièrement en Juin.)
37 LYNCH John , op. cit, p.353.
38 Ibid, p.355.
39 DEMIREL Ege , op. cit., p.49 cité par Corrales, 2009; Pape, 2005, p.13; Paul, 2005, p.46-71; Hurrell, 2006, pp.1-19 cité par Romero & Corrales, 2010.
40 Ibid, p.53.
41 KI§LALIOGLU Canan, « 2000 ’den Günümüze Latin Amerika - Abd Karsdi.kli. Ekonomik ve Politik Yaptirimlari: Venezüella, Bolivya, Peru Örnekleri ».Selcuk Üniversitesi,Konya, 2008, p.94.
- Citar trabajo
- Mahmut Emre Barutçu (Autor), 2020, La Forme de l'interventionnisme americain au Venezuela en tant que conséquence de la révolution boliviarienne pendant la période présidentielle de Hugo Chávez, Múnich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/930039
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