Il existe une certaine espace dans la recherche qui s'épandre et qui essaie de prouver que la transformation de langage est favorisé par des prédictions basé du contexte. Après des résultats récents, le cerveau calcule des estimations sur lesquels il estime la probabilité d'une sélection des mots, qui pourraient suivre dans des structures syntaxique suivantes. Des mots qui ne paraissent pas physiquement comme la catégorie prévu, affectent une volume élevée de la composante M100, c'est la première réponse MEG sur la stimulation visuelle. Cette étude traite la question, si des violations des prédictions, basées sur des informations lexicaux-sémantiques, pourraient effectuer des effets visuels similaires.
Il y avait un exercice dont les participants devaient classer des images aux descriptions adéquates / correspondantes. On y a trouvé beaucoup d’effets visuels antérieurs des mots qui n'ont pas forcement décrit l'image correctement. Ces résultats démontrent que, comme les prédictions syntaxiques, les prédictions lexicaux-sémantiques peuvent tôt influencer le processus visuel dès environ 100ms; partir du principe que la réponse M100 n'est pas la seule réponse qui sait reconnaitre des effets visuels, en dépendance de leur catégorie syntaxique de l'analyse.
Le cerveau génère probablement lui-même des prédictions en conformité avec l'input visuelle. Cependant il s'est produit beaucoup d'effets visuels de dysfonctionnements lexicaux-sémantiques quand un seul point lexical a été prévu.
Dikker et Pylkkanen argumentent que cela peut être mis au compte de l'aspect que normalement le processus de langage naturel ne met pas directement en groupe les champs lexicaux-sémantiques, comme par exemple 'fleur' et des champs visuelles ou auditives comme par exemple 'tulipe, rose et magnolia'. Au contraire de cela les catégories syntaxiques sont fiables en corrélation avec l'appartenance de la catégorie. Cette différence peut expliquer partiellement pourquoi quelques effets syntaxiques apparaissent plus tôt que les effets lexicaux-sémantiques.
Résumée
Introduction
Il existe une certaine espace dans la recherche qui s'épandre et qui essaie de prouver que la transformation de langage est favorisé par des prédictions basé du contexte. Après des résultats récents, le cerveau calcule des estimations sur lesquels il estime la probabilité d'une sélection des mots, qui pourraient suivre dans des structures syntaxique suivantes. Des mots qui ne paraissent pas physiquement comme la catégorie prévu, affectent une volume élevée de la composante M100, c'est la première réponse MEG sur la stimulation visuelle. Cette étude traite la question, si des violations des prédictions, basées sur des informations lexicaux-sémantiques, pourraient effectuer des effets visuels similaires.
Il y avait un exercice dont les participants devaient classer des images aux descriptions adéquates / correspondantes. On y a trouvé beaucoup d’effets visuels antérieurs des mots qui n'ont pas forcement décrit l'image correctement. Ces résultats démontrent que, comme les prédictions syntaxiques, les prédictions lexicaux-sémantiques peuvent tôt influencer le processus visuel dès environ 100ms; partir du principe que la réponse M100 n'est pas la seule réponse qui sait reconnaitre des effets visuels, en dépendance de leur catégorie syntaxique de l'analyse.
Le cerveau génère probablement lui-même des prédictions en conformité avec l'input visuelle. Cependant il s'est produit beaucoup d'effets visuels de dysfonctionnements lexicaux-sémantiques quand un seul point lexical a été prévu.
Dikker et Pylkkanen argumentent que cela peut être mis au compte de l'aspect que normalement le processus de langage naturel ne met pas directement en groupe les champs lexicaux-sémantiques, comme par exemple 'fleur' et des champs visuelles ou auditives comme par exemple 'tulipe, rose et magnolia'. Au contraire de cela les catégories syntaxiques sont fiables en corrélation avec l'appartenance de la catégorie. Cette différence peut expliquer partiellement pourquoi quelques effets syntaxiques apparaissent plus tôt que les effets lexicaux-sémantiques.
Une découverte relativement neuve prenant pour thème le processus linguistique électrique physiologique, montre que certains facteurs syntaxiques peuvent retenir plus tôt sur le processus de nerfs que les dysfonctionnements lexicaux-sémantiques. Pendant que les dysfonctionnements rapportés aux événements sont parfois constatés 125 ms après la réalisation du mot inattendu, les facteurs lexicaux-sémantiques deviennent seulement indexer jusqu'à 400 ms plus tard. Quelques scientifiques prennent cela comme épreuve que les propriétés syntaxiques des mots apparaissent premièrement au cortex-temporal à gauche et que les propriétés lexicaux-sémantiques se font analyser jusqu'après. Une telle vue modulaire de top-down concernant le processus de langage est provoqué par les résultats récents concernant la localisation des effets de mots. Elle est également provoqué par la rechercher croissante qui essaie d'expliquer l'importance des prédictions basé du contexte comme l'explication des processus des nerfs et en même temps le processus de langage.
Dikker, Pylkkanen et al. ont présenté une série des résultats qui montrent que les réponses aux dérogations des catégories des mots vont être localisé au cortex sensoriel.
Ils ont utilisé le procédé du magnétoencéphalographie, brève MEG, et ils ont découvert que le composant visuel M100 est la première grande réponse à la stimulation visuelle avec un retard de 100 ms après que la stimulation avait commencé et que le composant M100 réagit sensitive à la loi de probabilité des catégories syntaxiques. Quand on attendait par exemple une forme à l'oral, le volume du composant M100 a été en dépendance avec la probabilité du mot qui manquait dans le dire précèdent.
Des études passés proposent que le composant M100 est une réponse visuelle pré-lexicale. À la fin Dikker, Pylkkanen et al. sont d'avis que une telle interprétation est plutôt invraisemblable. Ils préfèrent la théorie Sensory Hypothesis, après laquelle le cerveau met en place des estimations des mots suivants et que ces suppositions s'appuient par des prédictions syntaxiques.
Les mots, qui n'ont pas l'air comme la catégorie lexicale attendu, influencent en conséquence le processus sensoriel. Le nombre des rapports de prévision qui traitent sur ce sujet augmente, car la recherche s'épande et grandit en ce secteur.
L'observation que les cortexes sensoriels sont sensible pour des dérogations des catégories des mots, peut aider à comprendre pourquoi les réponses syntaxiques pertinentes apparaissent aussitôt.
Néanmoins cette connaissance, que des prédictions déjà fait au passé influence toujours les déclarations qui vont être fait, ne peut pas expliquer suffisamment pourquoi les effets syntaxiques ont lieu avant les effets lexicaux-sémantiques.
Il existerait la possibilité que les prédictions syntaxiques et lexicaux-sémantiques forment des processus différents: il pourrait-être que les prédictions impliquent l'activation top-down de la présentation de la forme, alors que les prédictions lexicaux-sémantiques ne le font pas.
Des études précédentes montrent également que les prédictions lexicaux-sémantiques inclurent l'activation des propriétés des mots.
Il y a une étude récente de MEG dont on a fait un test cross-modal basé sur des phrases-images. Là on a pu remarquer que les réactions de M100 ont réagi sensiblement si une image s'accordait avec une scène qui a été décrit auditivement ou pas. Ces résultats laissent supposer que les prédictions qui sont basé sur des propriétés sémantiques, influencent très tôt le processus visuel et cela se passe du même mécanisme comme une prédiction syntaxique.
Pendant que la génération des estimations basées sur des prédictions lexicaux-sémantiques n'est pas toujours possible dans le traitement de la langue. En même temps il existe quelques corrélatifs pour des domaines lexicaux-sémantiques par rapport aux certaines catégories syntaxiques. Un exemple: Les mots Rose et Magnolie sont relié sémantiquement, mais ils sont juxtaposés vu que leur forme. Les mos Rose et Hose ont une forme semblable, mais aucune convergence de signification. Comme résultat on peut consigner que les prédictions lexicaux-sémantiques peuvent être traduit comme des estimations basé sur forme, quand soit un seul élément lexical est prévu, soit quand les particularités de forme sont assez bien diffusé entre des candidats multiples.
Dikker (2010) postule qu’une telle clarté de forme est nécessaire, pour qu'il soit possible qu'il se forme des effets visuels tôt: Il se pourrait qu'une amplitude de M100 haute réfléchisse, en cas que les éléments sont prévus, l’effort, qui est relié avec la réactivation de la façon d'exposer oppressé, qui est corrélative avec les mots inattendus.
Une autre raison pour laquelle les effets visuelles tôt des perturbations des prédictions lexicaux-sémantiques ne peuvent pas être justifié est de nature méthodologique: La plupart des études qui explorent les perturbations lexicaux-sémantiques utilisent des EEGs, cette méthode calcule normalement une moyenne d'une période assez longue. Tandis que ces analyses sont convenable pour des composantes à long terme comme la méthode N400, les réactions sensorielles comme la M100 ne sont pas des activités long-terme et conséquemment il est plus congru d'utiliser une analyse qui est focaliser d'explorer le maximum de la fonction des prédictions.
Dans le but d'explorer, si les réactions sensorielles tôt, comme le composant M100, réagissent sensibles aux perturbations des prédictions lexicaux-sémantiques, les chercheurs ont utilisé un exercice auquel les participants ont été demandé si la phrase nominal décrit soigneusement une image montré et s'il y a un classement catégorique concernant la signification et la forme.
En ce qui concerne cette expérience soit la phrase et l'image correspondante sont explicitement allées bien, soit non, par conséquence la prédiction de la phrase est devenue une perturbation, quand l'image n'allait pas bien avec la phrase. Les chercheurs attendaient des effets de correspondance dans le créneau horaire de N400 et ils attendaient surtout une influence sur le composant de M350, un sous-composant de la N400 réaction. En fin de compte le but principal de l'expérience a été d'approfondir, si les perturbations des prédictions lexicaux-sémantiques peuvent tôt influencer la transformation de langage sensorielle, comme en cas de prédictions syntaxiques.
Résultats et Discussion
L’hypothèse que les chercheurs ont préalablement échafaudé est preuves à l’appui des résultats que le composant M100 réagis sensible si un mot convient avec une prédiction lexical-sémantique, mais s’il n’existe qu’un corrélat direct au niveau lexical-sémantique. Le but de l’étude était de concourir à l’exploration de la prédiction de la compréhension de langage. On avait proposé que le cerveau prenne continûment des prédictions des nouveaux événements. Ces prédictions influencent après les stimuli qui arrivent. Dans certains cas les attentes deviennent des estimations qui peuvent être traduit dans les formes visuelles ou auditives qui étaient attendues. Le cerveau dérive des attentes par rapport aux propriétés auditives ou visuelles par la top-down modulation, c’est-à-dire le plus haut cortex dérive les attentes à surfaces plus basse au cerveau.
Les résultats qu’on a reçus par l’étude sont compatibles avec cette top-down explication, comme les facteurs syntactiques peuvent influencer très vite par M100 après le mot a été entendu les réactions neurales. Les mots qui ne sont pas typique pour la catégorie des mots qui a été attendu, ont sollicité plus des activités au cortex visuelle que les mots prévu. En ce cas on a analysé si le cerveau peut générer des estimations de formes qui sont basées sur des prédictions lexicaux-sémantiques. Ce faisant on a découvert que le composant visuelle M100 montre une réaction sensorielle plus tôt au MEG et qu’il y a des plus fortes déflexions aux mots qui ont gêné les prédictions, contrairement aux ceux qui ont satisfait les prédictions. Ces données font preuve que le cerveau sait générer des estimations des formes qui ne concerne que les processus syntactiques, mais aussi les prédictions lexicaux-sémantiques.
Il est important de souligner que l’étude dernière montre seulement que les effets visuels des perturbations lexicaux-sémantiques peuvent être observés. On ne peut pas garantir qu’il y aura des résultats des autres études ou des études semblables dont les résultats vont varier.
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- Citation du texte
- Larissa Stapelkamp (Auteur), 2016, Résumée de l'étude: "Before the N400: Effects of lexical-semantic violations in visual cortex" écrit par Dikker, Suzanne & Pylkkanen, Liina (2011), Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/418101
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