De nos jours, beaucoup d’entreprises sont obligées à pénétrer une série plus large et plus diverse de marchés. A cause de ce phénomène, il y a l'apparence des marques globales avec des stratégies de marketing relativement standardisées à travers les frontières culturelles et géographiques. La mondialisation a créé un marché global unique avec des consommateurs aux différents locations géographiques et des origines culturelles différentes, qui partagent des préférences semblables. Par conséquent, l'argument suivant est, que ce comportement reste divers, que les consommateurs ne sont pas toujours rationnel et qu’ils ne sont pas disposés à changer leurs habitudes de consommation pour des produits moins chers, qui sont de plus en plus disponibles sur le marché mondial.
SOMMAIRE
LISTE DES TABLEAUX
1. Introduction
2. Globalisation et le commerce électronique global
3. Définition du commerce électronique
3.1. Avantages du commerce électronique
3.1.1. Avantages pour les organisations
3.1.2. avantages pour les consommateurs
3.2. Limitations du commerce électronique
4. Classification des affaires électroniques-le type de B2C
5. La structure de ce type de commerce - les modèles d’affaire sur l’Internet
6. Application de l’analyse d’industrie
7. Analyse des 5 forces de Porter appliqué à ChâteauOnline
7.1. Concurrence traditionnelle de l’industrie
7.2. Entrants nouveaux
7.3. Produits et services remplaçants
7.4. Acheteurs
7.5. Fournisseurs
8. Résultats de ChâteauOnline pendant les derniers ans
9. Développement du commerce électronique en France
10. Résumé
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES APPENDICES
LISTE DES TABLEAUX
Les sources de culture
1. Introduction
De nos jours, beaucoup d’entreprises sont obligées à pénétrer une série plus large et plus diverse de marchés. A cause de ce phénomène, il y a l'apparence des marques globales[1] avec des stratégies de marketing relativement standardisées à travers les frontières culturelles et géographiques.[2]
La mondialisation a créé un marché global unique avec des consommateurs aux différents locations géographiques et des origines culturelles différentes, qui partagent des préférences semblables.[3]
Par conséquent, l'argument suivant est, que ce comportement reste divers, que les consommateurs ne sont pas toujours rationnel et qu’ils ne sont pas disposés à changer leurs habitudes de consommation pour des produits moins chers, qui sont de plus en plus disponibles sur le marché mondial.[4]
2. La culture
La culture est le “le collectif programmant de l'esprit qui distingue les membres d'un groupe humain d'un autre…c’est un système de valeurs…”[5]
"Dès le jour de sa naissance, l’ homme apprend ses modes de comportement. Un individu assimile le système de valeurs caractéristiques de sa culture, qui résulte des éfforts passés de la société pour s’adapter à son environnement, et qui lui est transmis par différents groupes et institutions tels que la famille ou l’école."[6]
La culture appartient à un groupe, influence le comportement des membres de groupe en les façons uniformes et prévisibles et il est appris. Il est passé d’une génération à la génération prochaine, mais fortement influencé par des changements dans la société.[7]
Le comportement des consommateurs est relatif et ne peut pas être généralisé juste pour une nation. Les produits et les services doivent être culturellement acceptables aux groupes de consommateurs. Triandis dit, que les paramètres de Hofstede, qui sont la distance de pouvoir, l'individualisme / le collectivisme, l'action d'éviter d'incertitude et la virilité / la féminité, influencent le niveau d'acceptation des produits standardisés en Europe.[8]
Selon Kotler, les aspects socio-économiques et économiques influencent le succès des produits standardisés.
L’existence des frontières nationales en Europe n'indique pas automatiquement des cultures différentes, et un comportement différents de groupes de consommateurs. De plus, la commercialisation de produit et service doit plus converger vers des groupes culturellement homogènes de juste sur les différents pays européens.
Quand même, il y a une tendance de consommateur complémentaire concernant de vivre et le comportement en Europe.[9]
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Source: Usunier, Jean-Claude: Marketing across cultures, 2e Edition, Essex, England 1996, page 12
2.1 La culture européenne
En Europe il existe beaucoup de similarités entre les consommateurs, on peut donc parler d'une culture européenne. Il est argumenté, qu’il y a plutôt des goûts similaires c’est pour cela que des entreprises se dirigentvers la standardisation de produits.[10]
Quelques auteurs pensent qu’il y a aussi des facteurs démographiques et socials similaires qui sont à prendre en compte.
On suggère, que le mouvement libre de travail, l’augmentation des voyages et les communications électroniques causent la plus grande acceptation d’articles étrangèrs et l’harmonisation de goûts et de préférences.
Mais quand même, il y a aussi des auteurs comme par exemple Fournis, qui ont l’opinion, qu’un consommateur européen en général n’existe pas. Les conditions ont changé sur le marché, mais à cause des niveaux d'affluence et d’éducation augmentés, il y a une grande variation entre des individus concernant leur goûts et préférences.[11]
C’est aussi important de mentionner une diversité dans les marchés géographiques en termes de législation, d’infrastructure de commercialisation de contexte politique et de culture.
De plus, il y existe des diversités au niveau linguistiques, géographique, mais aussi au niveau des salaires et de l’âge des salariés.[12]
Les entreprises doivent considérer, que malgré des analogies dans l’histoire des pays européens, toutes les différences déjà mentionnées sont actuelles. C'est plus facile et plus rapide d’assimiler l'infrastructure et l'économie que la culture et la mentalité des consommateurs.[13]
A cause de ces conditions différentes sur les marchés en Europe, l'adaptation est très importante, quand une entreprise considère une stratégie de commercialisation internationale.
3. L'adaptation contre la standardisation
Les entreprises qui agitent sur les marchés internationals, ont le choix entre la stratégie de standardisation et la stratégie d’adaptation.
Ces dimensions différentes sont expliquées à ce point du dossier.
3.1 L’ adaptation - Pourquoi les entreprises la choisissent?
“L’adaptation du produit domestique pour les marchés étrangers consiste à offrir un produit adapté aux goûts, aux préférences et aux besoins spécifiques des consommateurs étrangers visés.” [14]
Les entreprises peuvent exécuter l'adaptation en deux façons différentes: obligatoires ou volontaires. Une adaptation obligatoire est exécutée en cas des langues différentes, les systèmes de mesure différents et les spécifications de produit, des systèmes électriques différents ou les autres conditions de gouvernement locales.
Si l'exportateur décide tout seul de modifier le produit ou le service exporté selon les préférences des consommateurs locaux, alors on parle d'une adaptation volontaire.[15]
Un produit consiste d’une série d'attributs qui influence le choix d'adaptation. Les attributs physiques, tels que les normes locales (par exemple les DIN normes industrielles en Allemagne), l'hygiène/la santé, la sécurité et les normes écologiques.
Les attributs symboliques peuvent être mal compris à cause des sens transmis inadéquat par la couleur, la forme, les images, etc.
Les particularités locales en service, l'entretien et la distribution aussi affectent les attributs de service dans les différents pays.[16]
Une compagnie adaptant ses produits aux conditions du marché, aux restrictions légales, aux cultures et aux préférences des clients a l’avantage de fidélité augmentée de la clientele.
Des changements dans les besoins des clients peuvent être ajustés plus flexible. Les risques, que les produits n’ont pas de succès sont limités.
De plus, la compagnie a la possibilité pour servir des niches dans le marché.[17]
Concernant les avantages pour les consommateurs - les compagnies produisant des produits spéciaux adaptent la culture, la mentalité et la langue de consommateurs.
Ainsi, le degre de satisfaction de produit des consommateurs augmente et ils font probablement encore l’achat.
[...]
[1] Cf.: Aacker, D.; Joachimsthaler, E.: The lure of global branding, volume 77, 1999, pp. 137-144
[2] Cf.: Zou, S.; Cavusgil, S.T.: The GMS: broad conceptualization of global marketing strategy and its
effect on firm performance, Journal of Marketing, volume 66, No. 4, 2002, pp. 40-56
[3] Cf.: Levitt, T.: The globalization of markets, Harvard Business Review, 1983, pp. 2-11
[4] Cf.: Kotler, P.: Global standardization-courting danger, The Journal of consumer marketing,
volume 3, No. 2, 1986, pp.13-15
[5] Hofstede, G.: Cultural dimensions in management and planning, Asia Pacific Journal of management,
1984, page 21
[6] Kotler, P.; Dubois: Marketing Management, 9e Edition, Paris, la France 1997, page 195
[7] Cf.: Mead, R.: National culture, International Management, 1999, page 4
[8] Cf.: Triandis, 1972, cité par Holzmueller, H.; Simmet-Blomberg,H.; Souchon, A.; Axinn, C.;
Durden, G.; Diamantopoulos, A.: Five nation study, Birmingham, UK, Juin 1999, pp. 2-16
[9] Cf.: Schlegmichel, cité par Holzmueller, H.; Simmet-Blomberg,H.; Souchon, A.; Axinn, C.;
Durden, G.; Diamantopoulos, A., voir la note de bas 8, pp. 2-16
[10] Cf.: Mead, R.: An Universal Message, Financial Times, 27e May 2000
[11] Cf.: Littler, D.; Schlieper, K.: The development of the Eurobrand, International Marketing Review,
1995, Vol. 12, No. 2, pp. 22-37
[12] Cf.: Vandermerve, S.: From fragmentation to integration: A conceptual pan-European Marketing
formula, European Management Journal, 1989, pp. 3, 7, 267-272
[13] Cf.: Wierenga, B.; Pruyn, A.; Waarts, E.: The key to successful Euromarketing: Standardization or
Customization?, The Harword Press, Inc., 1996, pp. 54, 63-64
[14] Centre de recherche PME et d’Entrepreneuriat de l’Université de Liège: Projet Cofinance par l’Union Européenne, London Business School
www.eur-export.com/francais/apptheo/marketing/produit/adaptation.htm, Edition le 9e Avril 2003, page 1
[15] Cf.: Wierenga, B.; Pruyn, A.; Waarts, E.: voir la note de bas 13, pp. 413
[16] Cf.: Usunier, Jean-Claude: Marketing across cultures, 2e Edition, Essex, England 1996, pp. 243, 245,
251, 259
[17] Cf.: Langner, H: Segmentierungsstrategien für den europäischen Markt, 1991, page 162
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