La trivialisation, c’est l’action de rendre quelque chose trivial, banal, plat, en d’autres terme, cela veut souvent dire : priver quelque chose d’un sens ou contenu profond, comme dans la littérature populaire. De plus, le mot “trivialité” est également employé au sens d’un caractère grossier, vulgaire, choquant. Mais l’Eurydice n’est pas de la littérature triviale, en effet Jean Anouilh fait partie des dramaturges français les plus importants des années 1930 et 1940. Pourquoi est-il donc question d’une trivialisation dans le titre? Naturellement, il convient de souligner que c’est le mythe qui est trivialisé et non la valeur littéraire de l’Eurydice de Jean Anouilh. Mais en quoi la trivialisation consiste-elle ? A-t-elle vraiment des traits grossiers, vulgaires et choquants et surtout quel but Anouilh poursuit-il avec le moyen de la trivialisation? Ces questions majeures vont se refléter dans l’organisation de ce travail.
Table des matières
1. Introduction
2. La sécularisation du mythe 3
2.1 Le cadre moderne
2.2 Le passé d’Eurydice
2.3 La résurrection d’Eurydice et le regard en arrière
3. L’univers pessimiste et fataliste d’Anouilh 10
3.1 L’illusion et la réalité
3.2 Le destin des protagonistes
3.3 L’échec de l’amour
4. Conclusion
5. Bibliographie
- Citar trabajo
- Katja Kolossowa (Autor), 2012, La trivialisation du mythe dans "l'Eurydice" de Jean Anouilh, Múnich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/230328
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