Un papillon dans la cité
un roman de Gisèle Pineau
L’histoire
C’est l’histoire s’agit d’une fille qui s’appelle Félicie. Elle a 10 ans et elle vit à Guadeloupe avec sa grand-mère nommé Man Ya.
Sa mère Aurélie est allée en France depuis long temps. Félicie et sa grand-mère n’entendent jamais quelque chose d‘Aurélie. Chaque jour Félicie attend le facteur avec l’éspérance de reçevoir un signe de sa mère. Mais le facteur n’apporte jamais quelque chose. Félicie va à l’école à Guadeloupe et Man Ya travaille au hangar à bananes de l’habitation Sainte-Marguerite. Elle doit trier, laver et ranger les bananes dans les cartons. Félicie est une bonne élève. Man Ya regarde toujours que Félicie fait ses devoirs, bien que la vieille dame ne sait pas écrire et lire. Man Ya aime que Félicie apprend bien. Elle éspère que la petite fille trouverait une profession bien payer quand elle est grande.
Quoique Man Ya est une grand-mère rigoureuse, elle aime Félicie. Les deux sont des bonnes amies.
Un jour le facteur apporte une lettre pour Félicie. C’est le premier fois qu’il porte quelque chose pour les deux. Tout le jour Félicie doit attendre jusqu’à la grand-mère la laisse ouvrir la lettre. C’est un long jour pour Félicie, mais pas seulement pour elle, aussi pour Man Ya. Il s’agit d’une lettre d‘Aurélie. Elle écrit qu’elle vit a Paris avec son mari et son petit fils. Elle veut que Félicie vient en France. Elle remarque qu’une amie d‘elle passe les vacances à Guadeloupe. Cette amie accompagnera Félicie à Paris.
Félicie ne sait pas si elle est heureuse ou elle est triste. D’un cas elle doit quitter Man Ya, d’un autre elle veut faire la connaissance avec sa mère.
Man Ya est fâchée et triste. Sa fille Aurélie était partie en France déjà quelques ans, sans dire au revoir. Maintenant Man Ya a peur qu’elle perd aussi sa deuxième petite fille Félicie. Félicie savoure son dernier temps à Guadeloupe. Elle fait tous les choses qu’elle aime, et elle passe le plus possible temps avec sa grand-mère.
Un jour l’amie d’Aurélie, qui s’appelle Marie-Claire, arrive. Elle aime partir le prochain jour avec la fille. Félicie est très triste qu’elle doit laisser seul sa grand-mère.
Félicie s’assied dans l’avion, elle vole la première fois. C’est un long vol. Marie-Claire lit tout le temps et Félicie essaie de dormir, mais elle ne réussit pas.
En aéroport à Paris le mari d’Aurélie Jo va chercher les deux. Aurélie doit garder à Mimi, le petit nouveau frère de Félicie.
La famille vit au faubourg de Paris. Dans un quartier avec beaucoup de tours, avec beaucoup de gens, prédomine des étrangers.
Félicie et Papa Jo arrivent à l’appartement et Aurélie les salue. Félicie fait la connaissance avec sa mère et Mimi.
Félicie s’acclimate bien à Paris. Elle va à l’école et elle aide Aurélie au ménage.
Dans l’école elle trouve bientôt un ami préféré qui s’appelle Mohamed Ben Doussain (Mo). Il a 12 ans et il est le dernier de la classe. Mo rêve de voir la mer, c’est son plus grand désir. Mo est un raison important que Félicie plaît bien à Paris.
Félicie est la meilleure de la classe. La maîtresse aime qu’elle visiterait une école supérieure, mais Aurélie ne veut pas.
Félicie écrit à Man Ya beaucoup de lettres sans la connaissance d‘Aurélie. Parce que Man Ya ne sait pas lire, Félicie a demandé son amie à Guadeloupe, de lire les lettres pour la vieille dame.
Aurélie ne veut rien savoir de Man Ya ou de Guadeloupe. Elle réagit très fâché quand Félicie raconte quelque chose de son pays.
Dans l’été Félicie, Mo et Mimi vagabonde dans les quartiers au faubourg de Paris. Aurélie et Papa Jo doivent travailler, et ils ne savent rien de l’existence de Mohamed. Aurélie travaille aux pièces. Elle coud des manches de chemises à la chaîne. Papa Jo travaille dans une fabrique d’automobile.
Dans les vacances la famille habite à une ferme avec Marie-Claire et son ami Bernard. C’est un très beau temps pour Félicie.
Quand l’école commence de nouveau, Mo s’est changé. Il a des nouveaux amis, il fume des cigarettes et il vole. Il ne fait plus ses devoirs et il manque la classe.
Félicie ne sait pas comme elle peut aider à Mo pour terminer ses relations avec ce groupe de voleurs.
Un jour la maîtresse raconte à Félicie, qu’on fera un voyage du classe au bord de la mer.
Félicie dit à Mo s’il veut voir la mer, il ne faut plus manquer la classe et il faut faire toujours ses devoirs. Mo est très excité; il aime voir la mer.
La maîtresse informe les élèves qu’on ira à Guadeloupe. Félicie est très heureuse. Le soir elle raconte les nouveautés à Aurélie et Papa Jo. Après des grandes discussions Aurélie est finalement d’accord.
Dans l’avion Mo et Félicie s’asseyent l’un à côté de l’autre. Mais pendant le voyage, les deux ne parlent presque rien. Chacun est absorbé par ses pensées. Avant le départ Félicie n’a pas écrit à Man Ya qu’elle viendra à Guadeloupe. Ca sera une grande surprise pour elle. A Guadeloupe les deux disparaisent sans dire la maîtresse quelque chose. Mais elle n’a pas de soucis, elle sait que Félicie aime voir sa grand-mère. Man Ya est très heureuse de recevoir Félicie.
Mo nage tout le temps dans la mer. Félicie joue avec ses vieux amis ou elle fait des travaux pour Man Ya. Les trois amis passent un beau temps. Man Ya et Félicie savent qu’elles s’aiment pour tout la vie.
Aurélie a envoyé un lettre à Man Ya. Elle écrit qu’elle n’avait jamais terminer d’aimer Man Ya. Un jour elle reviendra à Guadeloupe. L’amour entre la jeune fille et sa grand-mère a provoqué un changement dans les sentiments d’Aurélie contre Guadeloupe et sa mère. Au fin des trois semaines la maîtresse vient chercher les deux.
A Paris Aurélie, Papa Jo et Mimi attendent Félicie.
Autrice
Gisèle Pineau est née à Paris en 1956. Ses parents sont Guadeloupéens. Son père a quitté Guadeloupe en 1943. La grand-mère, Man Ya, est une figure qui se trouve dans la vie réelle de Gisèle Pineau ainsi dans son oeuvre. On la retrouve dans son récrit L ’ exil selon Julia et aussi dans son roman de jeunesse Un papillon dans la cit é . Dans l’enfance de Gisèle Pineau sa grande-mère Man Ya lui a raconté beaucoup de Guadeloupe, des vieilles histoires des mystérieus de la pay perdu. Elle était une personne très importante pour l’autrice.
- Citation du texte
- Ladina Blum (Auteur), 2001, Gisèle Pineau - Un papillon dans la cité, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/100022