"Au Bonheur des Dames" est un roman qui étudie la fascination des Grands Magasins au Paris du XIXe siècle. Il est le onzième volume de la série de Rougon-Marquart. Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire écrit par Émile Zola. L’action se déroule à Paris, où l’héroïne, Denise Baudu, y arrive avec ses deux frères en raison de la mort de leurs parents. Elle désire travailler dans le magasin de son oncle Baudu, mais suite à situation économique mauvaise, celui-ci ne peux pas l’employer. Malgré le fait qu’il se trouve en grande concurrence avec le magasin « Au Bonheur des Dames », la jeune fille y commence à travailler comme vendeuse. Ayant un début difficile, Denise commence à s’habituer et le patron, Octave Mouret tombe amoureux d’elle. Au début, elle renonce ses avances, mais à la fin, il la demande en mariage.
En particulier le désir d’écrire un roman sur la femme d’intrigue du commerce et aussi l’exemple de sa femme qui préférait les Grands Magasins comme « Le Bon Marché », a inspiré Zola à écrire ce roman. Un grand intérêt de lui était aussi l’évolution du commerce et l’organisation des Grands Magasins, comme aussi les méthodes pour favoriser la vente et la manipulation des clientes ce qu’on perçoit directement dans ce roman.
Le quatrième chapitre traite le 10 octobre 1864, le jour de grande vente des nouveautés d’hiver et le début comme vendeuse pour Denise. Premièrement, on examinerait le matin du jour de grande vente dans le magasin et le début de Denise comme vendeuse. De plus, il suivra l’introduction des autres vendeuses dans le rayon de confections. Deuxièmement, il convient d’une description détaillé des personnages d’intérêt en relation de la grande vente. De même, il s’agit d’exposer les aspects du naturalisme. Troisièmement, il suivra la fin du jour de vente en égard différentes positions des personnages. Il suivra aussi une analyse du langage employé. Enfin, la conclusion terminera mon analyse.
Émile Zola, Au Bonheur des Dames (1883) : Analyse du quatrième chapitre
Au Bonheur des Dames est un roman qui étudie la fascination des Grands Magasins au Paris du XIXe siècle. Il est le onzième volume de la série de Rougon-Marquart. Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire écrit par Émile Zola. L’action se déroule à Paris, où l’héroïne, Denise Baudu, y arrive avec ses deux frères en raison de la mort de leurs parents. Elle désire travailler dans le magasin de son oncle Baudu, mais suite à situation économique mauvaise, celui-ci ne peux pas l’employer. Malgré le fait qu’il se trouve en grande concurrence avec le magasin « Au Bonheur des Dames », la jeune fille y commence à travailler comme vendeuse. Ayant un début difficile, Denise commence à s’habituer et le patron, Octave Mouret tombe amoureux d’elle. Au début, elle renonce ses avances, mais à la fin, il la demande en mariage.
En particulier le désir d’écrire un roman sur la femme d’intrigue du commerce et aussi l’exemple de sa femme qui préférait les Grands Magasins comme « Le Bon Marché », a inspiré Zola à écrire ce roman. Un grand intérêt de lui était aussi l’évolution du commerce et l’organisation des Grands Magasins, comme aussi les méthodes pour favoriser la vente et la manipulation des clientes ce qu’on perçoit directement dans ce roman.
Le quatrième chapitre traite le 10 octobre 1864, le jour de grande vente des nouveautés d’hiver et le début comme vendeuse pour Denise. Premièrement, on examinerait le matin du jour de grande vente dans le magasin et le début de Denise comme vendeuse. De plus, il suivra l’introduction des autres vendeuses dans le rayon de confections. Deuxièmement, il convient d’une description détaillé des personnages d’intérêt en relation de la grande vente. De même, il s’agit d’exposer les aspects du naturalisme. Troisièmement, il suivra la fin du jour de vente en égard différentes positions des personnages. Il suivra aussi une analyse du langage employé. Enfin, la conclusion terminera mon analyse.
On distingue trois parties dans le quatrième chapitre. La première partie, située des pages 99-109, traite du matin du jour de grande vente « Au Bonheur des Dames ». Zola commence par une description des décorations extérieures et intérieures du magasin qui étaient comme « une débauche de couleurs, une joie de la rue […] » (p. 99, l. 13-14). On est informé qu’Octave Mouret a utilisé son talent de négocier pour aménager un salon oriental dans l’entrée de son magasin : il a cédé les prix des tapis pour ce salon « presque à prix coûtants » (p. 100, l. 53) dans l’espoir d’attirer une clientèle de l’art 8cf. p. 101, l. 55). De même, l’inspecteur Jouve, un capitaine retraité, est introduit comme il accueille les clientes à l’entrée du magasin. Ses décorations militaires qu’il porte toujours soulignent son autorité et son probité ; il est « gravement poli » (p. 100, l. 45).
Puis l’attention passe à Denise qui commence son travail à huit heures du matin, et qui vient de s’installer dans sa petite chambre sous les toits du magasin. Elle a honte « aux bruissements tapageurs de l’étoffe » de sa robe de soie (p. 102, l. 107) qui est l’uniforme des vendeuses ce qui montre. Elle est si contente de pouvoir porter de la soie qu’elle ne fait pas attention à la taille trop grande de la robe qui devrait être rétrécit. Mais aussi ses cheveux, qui sont la seule beauté de la jeune fille montrent qu’elle n’est pas sûre de soi parce que « quand elle se coiffait, ils la gênai[ent], au point qu’elle se contentait de les rouler et de les retenir en un tas » (p. 103, l. 147-149). En face à la critique de Madame Aurélie, la directrice du rayon et la moquerie des deux autres vendeuses (Clara et Marguerite), Denise est intimidé et craigne de ne pas pouvoir arriver à son budget nécessaire de cent francs par mois pour payer la pension de son frère Pépé et de soutenir Jean.
On est informé qu’elle est embauchée au pair (cf. p. 104, l.177) ; ce fait renforce sa crainte que les autres vendeuses l’empêcheront à servir des clientes (et à gagner assez de gueltes) en raison de son apparence et son ignorance concernant les règles « Au Bonheur des Dames ».
Puis, Madame Aurélie ne l’autorise pas à servir une cliente connue par tout le magasin et l’incertitude de Denise est encore renforcé : « des larmes lui montaient aux yeux » (p. 105, l. 230). Zola emploie ici la question rhétorique « Allait-on l’empêcher de vendre ? » (p. 105, l. 236) pour montrer sa peur envers l’avenir. En plus, sa solitude et son désespoir est évoqué par le fait, qu’elle se tourne envers la fenêtre, envers le magasin de son oncle en réfléchissant si « peut-être lui-même désirait-il revenir sur sa décision » (p. 106, l. 239) ce qu’elle pense d’avoir blessé. Enfin, elle obéit les ordres de la directrice sans rien dire bien qu’elle soit obligé de faire « la besogne inférieure des débutants » (p. 106, l. 261). Zola arrive à structurer ce passage dans une façon quand a directement pitié avec la jeune fille Denise qui n’arrive pas à se défendre face à les injustices de la directrice et les deux vendeuses. Mais au moment que Mouret entre dans le rayon, son comportement change : elle devienne nerveuse et rougit « en croyant qu’il allait lui parler » (p. 106, l. 266) ce qui est une allusion à la fin du roman.
Concernant Clara et Marguerite, les deux vendeuses se trouvent en concurrence ce qu’on apprend déjà dès leur introduction à la page 102 dès lignes 110 à 118 : leur dispute qui était la première présente au rayon. D’habitude, Clara ne montre pas un grand intérêt pour vendre, « gagnant davantage au-dehors » (p. 105, l. 223), elle souffle la bonne cliente à Denise en raison de la montrer sa place dans le rayon. D’autre part, Madame Aurélie est décrit comme une personne très sévère et avec beaucoup de responsabilité comme Zola son apparence avec celui de César : « elle promenait son masque de César à travers le vide du rayon, en général qui a une responsabilité dans la victoire et la défaite. » (p. 105, l. 201-203). Le fait qu’elle critique Denise pour son apparence physique déjà analysé montre que la directrice ne veut pas que les vendeuses du rayon permettent de gagner une mauvaise impression de son rayon. En disant « on va pouvoir juger ce dont vous êtes capables » (p. 104, l. 168-169) elle exprime son ressentiment contre la jeune fille de province. Quant à Mouret, le patron du « Bonheur des Dames », il apparait être sur de soi, sur du succès de la grande vente, mais également, il est « indigne d'avoir peur » (p. 108, l. 330). Il est désespéré devant le manque de clients au matin, « une faiblesse superstitieuse l'avait pris » (p. 107, l. 279) même qu'il sait « par expérience que la foule n'arrivent guère que l'après-midi » (p. 107, l. 274). Ce passage montre son expérience, sa conviction de son magasin qu'il appelle souvent sa machine infernale. Cependant, le fait qu'il est désespéré et même superstitieux montre sa côté humaine, que lui, il n'est pas une machine. Cependant, au lieu de laisser s’inquiéter par autres personnes, il fait confiance aux autres (p. 107, l. 300-301) car il veut garder le contrôle en regardant son magasin d'une position élevée (cf. p. 107, l. 302-305) ; Zola fait allusion à un capitaine de vaisseau regardant son bateau. Cet élément revient encore plus tard quand il domine le magasin du grand escalier (cf. p. 111, l. 434). L’usage du mot cœur à la page 108, aux lignes 316 à 317 souligne le fait qu'il est passionné par son travail: « son cœur était serré par le magasin vide ».
Dans la deuxième partie (p. 108-128), Zola décrit le changement dans le comportement de Mouret, mais aussi les différents vendeurs et vendeuses en relation à leurs façons de vendre et leurs rapports aux clients.
Concernant Mouret, son soulagement devant les clients qui commencent à entrer dans le magasin l'après-midi soutien la conscience de sa propre valeur concernant sa machine infernale qui roule avec succès (p. 111, l. 435-36): « son visage se colorait, la foi renaissait et la grandissait, devant le flot de monde [...] ». Par conséquent, il est libre pour montrer son magasin à son ami Paul Vallagnosc (cf. p. 112, l. 463-465). Le fait qu'il se moque de Denise nous apprend qu'il veut assurer sa maitresse, Madame Desforges, qui a senti un certain intérêt de lui pour Denise.
En outre, il ya les vendeurs comme Hutin, Favier et Mignot. Hutin et Favier sont des amis et en même temps des concurrents : par rapport à leur travail « ils se battaient pour l'argent du lundi au samedi » mais « ils mangeaient tout le dimanche » (p. 109, l. 361-362). Hutin est stressé par le fait qu'il doit réunir cent francs pour « régaler cinq personnes » (p. 109, l. 354) en suite d'un pari perdu. C'est pourquoi il évite de servir une cliente qui, à son avis, « n'achèterait pas » (p. 110, l. 382). De la réaction jalouse de Hutin au succès de son concurrent Favier, qui obtient une guelte de trois francs pour la vente à cette cliente, on voit la lutte entre les deux (cf. p. 111, l. 417-419). En plus, le dédain de Hutin apparaît à l'évidence quand il exprime sa jalousie de Favier, « un vendeur qu'il ne reconnaissait pas […] se force » (p. 111, l. 424-425). De même, son dédain se montre dans son comportement envers Madame Marty : « […] il domine la cliente […] en lui imposant son choix en lui persuadant qu'il savait mieux qu'elle l'étoffe dont elle avait besoin » (p. 119, l. 715-717).
D'ailleurs, le point commun des deux est leur bonne volonté de coqueter avec les clientes et de les persuader des achats. Être confronté avec la cliente difficile et indécise Madame Desforges lui amène à une profonde frustration et impatience qu'il cache « sous le sourire qui ne quittait pas ses lèvres » (p. 120, l. 745-746). Cette frustration est illustré par la question rhétorique à la page 123 dès lignes 863 à 864 « N'était-ce donc pas assez de lui faire manquer une vente, en bas? ». D'autre part, Madame Desforges, la petite amie du patron se comporte d'une facon prétentieuse en raison de son rang social. Elle traite le vendeur avec dédain, ce qu'on voit à la page 114 à la ligne 522: « elle répondit non, d'une signe de tête ». Comme elle se laisse montrer tout les étoffes du lienage (cf. p. 115, l. 576-579).
Zola souligne son gout exigeant avec la répétition « Veuillez porter ça à la caisse 10, pour Madame Desforges » (p. 114, l. 531 et p. 116, l. 586). Au contraire, Madame Marty, une amie de Madame Desforges, a toujours des soucis d’argent car elle ne peut jamais résister aux sensations « Au Bonheur des Dames ». C’est pourquoi, elle achète encore « un lot d’articles » (p. 116, l. 606) ce jour-là. Néanmois, Madame Bourdelais qui garde «son sang-froid de ménage pratique » (p. 117, l. 639-640) et essaie de profiter le plus possible des articles offerts. Il convient d’ajouter le comportement de Madame de Boves qui représente la femme qui, au lieu d’acheter, regarde seulement « pour le plaisir de les (dentelles) voir et le les toucher » (p. 122, l. 831).
Quant à Denise, la question rhétorique « Quelle est donc sa faute, pour qu’on s’attaquât de la sorte à sa taille trop mince, à son chignon trop lourd ? » (p. 127, l. 997-998) illustre son humiliation par Mouret et Madame Desforges se moquent d’elle ensemble avec les autres vendeurs du rayon. Elle prend Hutin comme « un ami […], fraternel et tendre, toujours prêt dans l’ombre à la sauver » (p. 124, l. 903-904) quand il souhaite abandonner Madame Desforges et Madame Marty parce qu’ils n’avaient rien acheté ce qui illustre sa côté naïve. Mais elle est dépassé par cette vente et le fait qu’elle d’être ainsi changée en une machine qu’on examinait » (p. 126, l. 975) la gène.
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- Anonymous,, 2014, "Au bonheur des Dames" (1883) de Émile Zola. Analyse du quatrième chapitre, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/539162
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