1. Introduction
“Le sourire, Momo ce n’est pas un truc pour les gens heureux: c’est sourire qui rend heureux!”
Une thérapie par le sourire, voilà la sagesse de Monsieur Ibrahim dans cette courte réplique.
Sourire est une manière tellement simple pour rendre heureux nous mêmes et aussi les gens qui nous entourent.
Cette phrase de Monsieur Ibrahim m’a touchée immédiatement et je l’ai associée au bonheur dans le monde.
C’est un sujet que m’interesse baucoup et voilà que j’ai fait des recherches sur le bonheur, dès origines à aujourd’hui. J’ai consideré les opinions du monde classique, les philosophes et la societé contemporaine.
Il semble que Monsieur Ibrahim a trouvé son bonheur aussi dans sa religion. C’est pourquoi je veux dire quelques mots sur le soufisme.
“Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran” est une histoire toute simple, c’est une rencontre qui nous aidera peut être à sentir que souvent le miracle de la réconciliation est là, plus proche parfois qu’on ne l’imagine, au bout de la rue peut-être, chez quelqu’un que l’on n’a jamais pris la peine de regarder ou d’écouter. Ce film et aussi le livre ne perdent rien avec le passage du temps. Ils sont plein de sujets actuels.
Aujourd’hui qu’on vit ensemble avec des étrangers ce film est un message simple mais efficace de tolérance envers l’autre. Cet étranger qui fait peur et dont on se méfie, dont on a peur car on ne comprend pas, et bien souvent car on ne fait pas l’effort de comprendre, sa culture.
Le film est très proche au livre et tous les deux me plaîent beaucoup. Je les conseillerai tout de meme que si on a déjà tout lu ce qui nous tient à coeur.
Les deux, monsieur Ibrahim et Moïse, fonctionne à merveille et se lit comme une forme de filiation entre deux amis qui se choisissent. Ils me font penser à les deux du film “Le nom de la rose” dans lequel un père sert de guide à un jeune prêtre. Le jeune prêtre conservera une fleur dans sa bible (la fleur de son amour) et de la même manière monsieur Ibrahim conserve des fleurs dans son Coran qu’il offrira au jeune Moïse. Monsieur Ibrahim est heureux de vivre car il sait ce qu’il y a dans son Coran, comme on découvre à la fin du film que sont les fleurs du Coran, les fleurs de son amour qu’il ira retrouvé avec Momo en Turquie.
C’est un film habité d’une grande poésie qui fait d’un vieil arabe une sorte de sage, un guide qui transmet son savoir à un jeune homme à qui il passe le relais dans un geste de filiation.
Index
1. Introduction
2. Resumé du film “Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran”
3. Transcription du texte
3.1. Scène dans l’épicerie
3.2. Momo et son papa à la maison et puis Momo avec M. Ibrahim dans l’épicerie
3.3. Momo avec M. Ibrahim dans le bain
3.4. Momo et sa mère
3.5. Le début du voyage en Turquie de M. Ibrahim et Momo
3.6. La mort de M. Ibrahim
4. Le bonheur
4.1. Définition
4.2. Les recherches du bonheur
4.2.1. L’eudémonisme antique
4.2.2. La revolution chrétienne
4.2.3. La doctrine kantienne
4.3. Philosophies du bonheur
4.3.1. Blaise Pascal
4.3.2. Baruch Spinoza
4.3.3. Friedrich Nietzsche
4.4. La quête du bonheur dans la societé contemporaine
5. Le soufisme
6. Conclusion
7. Bibliographie
1. Introduction
“Le sourire, Momo ce n’est pas un truc pour les gens heureux: c’est sourire qui rend heureux!”
Une thérapie par le sourire, voilà la sagesse de Monsieur Ibrahim dans cette courte réplique.
Sourire est une manière tellement simple pour rendre heureux nous mêmes et aussi les gens qui nous entourent.
Cette phrase de Monsieur Ibrahim m’a touchée immédiatement et je l’ai associée au bonheur dans le monde.
C’est un sujet que m’interesse baucoup et voilà que j’ai fait des recherches sur le bonheur, dès origines à aujourd’hui. J’ai consideré les opinions du monde classique, les philosophes et la societé contemporaine.
Il semble que Monsieur Ibrahim a trouvé son bonheur aussi dans sa religion. C’est pourquoi je veux dire quelques mots sur le soufisme.
“Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran” est une histoire toute simple, c’est une rencontre qui nous aidera peut être à sentir que souvent le miracle de la réconciliation est là, plus proche parfois qu’on ne l’imagine, au bout de la rue peut-être, chez quelqu’un que l’on n’a jamais pris la peine de regarder ou d’écouter.
2. Resumé du film “Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran”
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran constitue le récit théâtral et autobiographique fictif de la vie de Bruno Abraham Kremer. Celui-ci a fait appel à Eric-Emmanuel Schmitt pour écrire le texte final en lui faisant le récit de son enfance à Paris, avec son grand-père M. Abraham.
Le film se base sur le roman et il est resté fidèle au roman de l’auteur.
Avant de commencer je ferai un petit resumé du film.
Momo, Moïse, a 13 ans, il est juif et il vit rue Bleue dans les années 60. Là où pour 35 francs, les filles qui font le trottoir et donnent du plaisir. Rue Bleue, c’est aussi où il y a “l’Arabe” du coin, c’est-à-dire l’épicier ouvert de 8 heures à minuit, même le dimanche. L’arabe du coin, c’est Monsieur Ibrahim, qui n’est pas arabe, mais tout simplement musulman.
Momo vit avec son père qui est avocat. Sa mère est partie avec Popol, son frère plus grand, lorsque Momo était encore petit. Plus tard on découvre que Popol n’existe pas, mais que c’est une invention du père pour mortifier Momo.
Momo est livré à lui-même, c’est lui qui fait tout dans la maison. Alors, Monsieur Ibrahim lui enseigne comment faire de petites économies (du pâté pour chien qu’il fera passer pour de la terrine de campagne), de cette manière il peut aller voir les filles de la rue Bleue. Monsieur Ibrahim sait “ce qu’il y a dans son coran”, il ne sait rien d’autre que ça.
Il enseigne beaucoup de choses à Momo et ils commencent une très belle amitié jusqu’à l’adoption de Momo par Monsieur Ibrahim.
Et puis, le père de Momo perd son travail et part en lui laissant une lettre dans la quelle il s’excuse d’être un mauvais père. Momo continue sa vie comme si son père était toujours là, il ne dit rien, même pas à Monsieur Ibrahim, jusqu’au jour où la gendarmerie frappe à sa porte.
Puis Momo va voir sa mère arriver jusqu’à l’appartement et il apprendra la verité sur Popol, son frère. Elle lui dit qu’elle n’a jamais eu d’enfant avant Moϊse, qu’elle n’a jamais eu de Popol. Alors, Momo comprend qu’i l a été une invention de son père pour le faire sentir inférieur, pas aimé assez.
C’est à partir de ce moment là que Monsieur Ibrahim va tout faire pour que Momo devienne son fils.
Ensemble ils vont entamer un voyage qui vont les mener jusqu’au croissant d’or, en Turquie.
Eric Emmanuel Schmitt a écrit un “hymne à la vie”, plein d’humour et de tendresse.
L’interprétation de Bruno Abraham Kremer est toute en rondeur, en bonheur, en douceur. Il nous prend à la gorge avec ce trop plein d’amour. Tous deux nous donnent vraiment envie d’être heureux.
Ce film raconte l’histoire tendre et drôle d’un gamin au franc-parler et de l’épicier arabe de sa rue. Il enseigne à l’enfant que le sourire est une clé du bonheur. Il lui dit qu’avec un scurire on a tout, que c’est de sourire qui rend heureux. Alors, Momo il sourit.
3. Transcription du texte
3.1. Scène dans l’épicerie
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3.2. Momo et son papa à la maison et puis Momo avec M. Ibrahim dans
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3.3. Momo avec M. Ibrahim dans le bain
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3.4. Momo et sa mère
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- Quote paper
- Ines Will (Author), 2008, M. Ibrahim et les fleurs du Coran - une analyse du film, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/146302
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