Avec la victoire des Allemands sur la France, en 1871, l'Europe se divisait en deux systèmes
d'alliances caractérisés par des rivalités. En septembre 1914, après une « paix armée »
l'Europe tombait dans la première guerre mondiale.
Sous l’impression de cette guerre si violante où les Européens s’entre-tuaient, Richard
Coudenhove- Kalergi fondait l'Union Paneuropéenne pour éviter le retour d'un pareil désastre.
Son plan était simple : de réunir les Etats du continent européen dans une même organisation,
qui était fondée sur le rapprochement franco-allemand. Dans son livre « Paneurope », paru en
1923, Coudenhove-Kalergi posait la question suivante:
« L'Europe, dans son morcellement politique et économique, peut-elle
assurer sa paix et son indépendance face aux puissances mondiales
extra-européennes qui sont en pleine croissance? »
Ce n’étaient pas les puissances mondiales extra-européennes qui menaçaient la paix en
Europe, mais les Européens eux-mêmes. Le contraire d’une Europe unie comme réclamée par
Coudenhove-Kalergi se mettait en scène. L'après-guerre était marqué par la croissance du
nationalisme allemand qui cherchait une revanche pour la défaite contre les Alliés et le Traité
de Versailles. La Russie qui était devenue bolchevique cherchait à détruire les régimes
bourgeois. L'arrivée au pouvoir d'Hitler le 30 janvier, favorisé encore par une terrible crise
économique, de 1929 à 1933, permettait aux Nazis d’octroyer leur conception d’une Europe
aux autres nations. Tous les efforts pour la paix en Europe étaient ruinés.
Nonobstant, on ne cessait pas de rêver d’une Europe unie. Mais l'idéal d'unité européenne
n’était popularisé par certaines élites dans la période de l'entre-deux-guerres. Les milliers
d’autres rêvaient après la guerre d'une Europe unifiée et pacifique. Ce n’était qu’après ce
temps que les idées d’une organisation de l'Europe en paix sont reprises et seront réalisées.
Cet exposé va présenter les plans d’une Europe développés par les Nazis pendant le IIIe Reich
(A) et les plans de ceux qui ont lutté contre cette Europe d’une hégémonie allemande et rêvé
d’une Europe des nations égaux (B).
Sommaire
A. Introduction
B. Le Nazisme et l’idée européenne pendant le IIIe Reich (1933 - 1945)
I. « Europäische Wirtschaftsgemeinschaft » ou Germanisation des peuples ?
II. La nouvelle Europe et le travailleur
III. L’espace vitale dans l’Est
IV. Conceptions économiques pour l’Europe
C. Les rêves de la résistance - La Résistance et l'idée européenne. Une conception différente
I. PanEurope
II. Les idées de la résistance allemande
1. L’Europe selon le cercle de Kreisau (« Der Kreisauer Kreis »)
2. Les idées des sociaux-démocrates
3. Les plans des Communistes
4. La Rose Blanche (« Die Weiße Rose »)
Bibliographie
A. Introduction
Avec la victoire des Allemands sur la France, en 1871, l'Europe se divisait en deux systèmes d'alliances caractérisés par des rivalités. En septembre 1914, après une « paix armée » l'Europe tombait dans la première guerre mondiale.
Sous l’impression de cette guerre si violante où les Européens s’entre-tuaient, Richard Coudenhove- Kalergi fondait l'Union Paneuropéenne pour éviter le retour d'un pareil désastre. Son plan était simple : de réunir les Etats du continent européen dans une même organisation, qui était fondée sur le rapprochement franco-allemand. Dans son livre « Paneurope », paru en 1923, Coudenhove-Kalergi posait la question suivante:
« L'Europe, dans son morcellement politique et économique, peut-elle assurer sa paix et son indépendance face aux puissances mondiales extra-européennes qui sont en pleine croissance? »
Ce n’étaient pas les puissances mondiales extra-européennes qui menaçaient la paix en Europe, mais les Européens eux-mêmes. Le contraire d’une Europe unie comme réclamée par Coudenhove-Kalergi se mettait en scène. L'après-guerre était marqué par la croissance du nationalisme allemand qui cherchait une revanche pour la défaite contre les Alliés et le Traité de Versailles. La Russie qui était devenue bolchevique cherchait à détruire les régimes bourgeois. L'arrivée au pouvoir d'Hitler le 30 janvier, favorisé encore par une terrible crise économique, de 1929 à 1933, permettait aux Nazis d’octroyer leur conception d’une Europe aux autres nations. Tous les efforts pour la paix en Europe étaient ruinés.
Nonobstant, on ne cessait pas de rêver d’une Europe unie. Mais l'idéal d'unité européenne n’était popularisé par certaines élites dans la période de l'entre-deux-guerres. Les milliers d’autres rêvaient après la guerre d'une Europe unifiée et pacifique. Ce n’était qu’après ce temps que les idées d’une organisation de l'Europe en paix sont reprises et seront réalisées.
Cet exposé va présenter les plans d’une Europe développés par les Nazis pendant le IIIe Reich (A) et les plans de ceux qui ont lutté contre cette Europe d’une hégémonie allemande et rêvé d’une Europe des nations égaux (B).
B. Le Nazisme et l’idée européenne pendant le IIIe Reich (1933 - 1945)
I. « Europäische Wirtschaftsgemeinschaft » ou Germanisation des peuples ?
La propagande du thème de l’Europe vue par Hitler est marquée de deux idées 1 ou stratégies très apparentes : la protection de l’Europe contre le bolchevisme (Hitler : « croisade antibolchevique ») et l'impérialisme anglo-saxon et d’autre côté la réorganisation du continent sous la forme d'un grand espace économique et commercial européen entièrement placé au service de l'économie allemande.
La première ambition d’Hitler nous explique un fait crucial, que l’Europe des Nazis était fondée sur des ennemis déclarés, notamment le bolchevisme, le judaïsme, ou l’impérialisme anglais, contrairement à la conception de l’Union Européenne qui n’a pas besoin de tels spectres pour se définir. Au contraire l’Union Européenne déclare dans le traité établissant une Constitution pour l’Europe, signé en 2004, dans l’article I-8 comme devise de l'Union européenne « Unité dans la diversité » - « In varietate concordia » « Unie dans la diversité ». On rappelle l’importance historique de la fin de la division du continent européen et la nécessité d’établir des bases solides pour l’architecture de l’Europe future et on confirme l’attachement aux principes de la liberté, de la démocratie et du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de l’Etat de droit.2
La structure de l’Europe nouvelle d’Hitler était conçue comme une pyramide dominée par le Grand Reich allemand et ses habitants, supérieurs aux autres peuples.3 De cette position, le Reich voulait organiser des nouvelles conquêtes territoriales et prétendait, pour ce faire, de vouloir construire une Europe unie, dite « Europaische Wirtschaftsgemeinschaft », qui mettrait définitivement fin aux antagonismes nationaux traditionnels. Pour cette raison l’Allemagne n'hésitait pas à se présenter comme le champion de l'unification européenne et de l'ordre nouveau continental.
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« Die aus Glauben und Leistung erwachsene Gewißheit : Europa siegt ! »5 La croyance et la force nous donne la certitude : Europe va gagner !6
Les Allemands se sentaient capables de fournir à toute l'Europe sa classe dirigeante. Joseph Goebbels, ministre de propagande du IIIe Reich, souligne cette attitude :7
„Sie haben das Reich im Krieg gesehen, und Sie werden sich ungefähr eine Vorstellung davon machen können, was es im Frieden bedeuten wird. Dann wird unser großes volksstarkes Reich neben Italien praktisch die Führung Europas übernehmen. Daran ist gar nichts mehr zu drehen und zu deuteln. Daß heißt also für Sie: Sie sind jetzt schon ein Glied eines großen Reiches, das sich eben anschickt, Europa eine neue Ordnung zu geben. Es will die Schranken, die die europäischen Völker noch voneinander trennen, niederreißen und ihnen den Weg zueinander ebnen [...] Wie vollziehen hier also ein Reformwerk, von dem ich überzeugt bin, daß es einmal mit ganz großen Buchstaben in das Buch der europäischen Geschichte geschrieben werden wird.“
« Vous avez témoigné le Reich en temps de guerre et vous allez avoir un image de ce que le Reich est en temps de paix. Là, notre grande nation va être, à côté l’Italie, et prendre le leadership / domination en Europe. Il n’y a aucun doute. Ça signifie pour vous : vous faites déjà
partie d’un grand empire qui a commencé à donner un nouvel ordre à l’Europe. Cet empire va détruire les frontières qui divisent les peuples européens et leur frayer le chemin [...] Nous sommes, donc, en train d’effectuer une réforme dont je suis convaincu qu’elle va rester dans les annales de l’histoire européenne. »
Avec cette dernière phrase Goebbels, malheureusement, allait avoir raison. Ses mots sur la disparition des frontières paraissent une véritable ironie, si on tient compte des vrais buts de la politique nazi. Une autre image utilisée encore plus souvent à la fin de la guerre et la défaite prévisible est celui de la protection d’Europe, qui est comparée avec une forteresse.
[...] Dieses Deutsche Reich, wird heute auch vom Glauben getragen, daß nirgends Europa heute bewußter verteidigt wird als im nationalsozialistischen Berlin und im faschistischen Rom.8
« Ce Reich allemand est aujourd’hui porté par la croyance, que dans aucun autre lieu, l’Europe est mieux défendue qu’à Berlin nationalsocialiste et au Rome fasciste. »
Les plans d’une nouvelle Europe prévoyaient un regroupement entier du continent politique selon des critères territoriaux et « völkisch », c’est-à-dire « nationaux ». Dans ce contexte, l’intégration des pays voisins dans le Reich et l’expulsion, le déplacement ou l’expatriation de grandes parties de la population, mais aussi l’oppression, l’exploitation et finalement l’extermination des masses, étaient prévus. Face aux populations comme les Slaves, de la Pologne, des Pays baltes et de l'Union soviétique le Reich déclare la lutte justifié, car il s’agit des « sous-hommes » ou Untermenschen que le Reich pourrait éliminer ou déplacer et asservir selon ses besoins. Ainsi, les Juifs et les Tsiganes, qui étaient considérés comme apatrides, sont condamnés à être exterminés. L’holocauste avec la mort d’environ ¾ des juifs en Europe fait la culmination de ce plan monstrueux.9
La conception de l’Allemagne nazi doit aujourd’hui être considérée comme l’antithèse totale de l’unification pacifiste qui s’était ultérieurement réalisée dans les Communautés Européennes et l’Union Européenne après la deuxième guerre mondiale.
En avril 1942, le Parti national-socialiste allemand (NSDAP) expose sa vision de l'Europe réorganisée et défend l'idée d'un espace économique européen dirigé par l'Allemagne nazie.10
Daß […] ein Führungsanspruch des deutschen Volkes zu Recht besteht, bedürfte eigentlich keines Beweises. … er ist aber auch geschichtlich tief begründet, und zwar sowohl geistes- und kulturgeschichtlich […], hatte das deutsche Volk doch jahrhundertelang die Führung in Europa inne. Außerdem sei es Deutschland gewesen, der […] Europa vor dem Untergang rettete, und sich […] um die innere Freiheit des nordischen Menschen sorgte. Deutschlands Führungsanspruch werde dabei nicht nur […] durch seine zahlenmäßige Stärke und die geographische Lage seines engeren Lebensraumes unterstrichen, […] sondern auch die schöpferische Kraft und die organisatorische Begabung, die Völker Europas zu einer Einheit zusammenzufassen […]
« Le leadership du peuple allemand n’a pas besoin des preuves - il est basé dans l’Histoire des idées et de la culture. C’était l’Allemagne qui avait déjà dominé l’Europe pendant des siècles. C’était l’Allemagne aussi qui sauvait l’Europe de son déclin et qui se souciait de s’occuper de la liberté des peuples nordiques. Ce n’est pas seulement par sa dominance numérique et sa situation géographique, mais par sa puissance créatrice et son talent d’organisation que l’Allemagne sait unir les peuples d’Europe. »
Si on analyse le développement de la conception nazie d’Europe on pourrait commencer dans l’année 1933, 6 ans avant le déclanchement de la guerre. Ce n’était que 4 jours après la prise du pouvoir de l’Etat (« Machtergreifung ») qu’Hitler se prononçait sur ses plans d’occupation et de germanisation de ce qu’on appelait l’espace vital (« Lebensraum ») pour établir une politique nationale, et pour unir tous les Allemands dans un Grand Reich unique.11
Mais déjà avant cela, en 1925, dans son livre Mein Kampf Hitler prévoyait une union avec l’Italie et la Grande Bretagne qui après devenait son ennemie. D’après lui, la France devrait perdre sa position hégémonique. Après cela il serait temps d’élargir l’espace vital dans l’Est. Au milieu d’Europe devrait naître un Reich plus grande que dans ses dimensions de 1914.
Un an après la Machtergreifung, en 1934, Hitler parlait d’un noyau de fer, composé par l’Autriche, la Tchécoslovaquie et l’Ouest de la Pologne. Surtout il créait des unions d’alliés qui était d’un rang inférieur de ce nucléus : une Alliance de l’Est l’« Ostbund » (composé des Pays Baltes, les Balkans, l’Ukraine, la région de la Volga et la Géorgie) après, l’alliance de l’Ouest „Westbund“ (composé de la Hollande, les Flandres et le Nord de la France) et finalement le « Nordbund » (composé du Danemark, la Suède et la Norvège).
Hitler n’utilisait le terme « Europa » qu’avant de l’avoir défini selon ses critères de races et de sang.12 Les nazis tablaient leurs projets sur l'existence d'une race allemande à laquelle appartiendraient aussi les Alsaciens, les Autrichiens, les Luxembourgeois et les Suisses germaniques.13
Six, qui dirigeait le Bureau de Presse et Littérature du Sicherheitsdienst, définit l’Europe comme ...
„ ... der aus der Gestaltungskraft der arischen Rasse geschaffene Lebensraum der europäischen Rassen und Völker.“14
« ... l’espace vital des races et peuples européens crée par la race dominante des Ariens. »
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« For Danmark ! Mod Bolchevismen. »
Pour le Danemark, contre le bolchevisme.
La S.S.15 essayait même de recruter ses membres dans les pays occupés, c’est à dire les non allemands des Pays-Bas, de la Belgique ou de la Norvège. On suggérait de partager la même race et qu’on pourrait obtenir des droits spéciaux pour le temps après la fin de la guerre. Selon la conception nazie les populations parentes jugées germaniques étaient facilement assimilables tels que les Scandinaves, les Flamands et les Néerlandais, mentionnés au-dessus.
Med Waffen-SS og den norske legion mot den felles fiende - Mot bolsjevismen.
Avec la Waffen-S.S. la légion des Norvégiens lutte contre l’ennemi ... Contre le bolchevisme
Les peuples alliés devraient collaborer pour que le peuple puisse ...
„[…] als selbstbewußtes Glied einer neuen Europäischen Volksgemeinschaft den gebührenden Platz einnehmen kann.“16
« ... occuper une place de membre égale en droits, fière de soi-même dans une nouvelle communauté des peuples. »
Chaque étranger qui tomberait à la guerre pour la cause des Allemands était bienvenu.
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Nederlanders, Voor uw eer en geweten op ! Tegen het bolsjewisme. De Waffen-SS roept u!
Néerlandais, vous l’avez attendu ! Contre le bolchevisme. La Waffen - SS vous appelle !
Rosenberg, Ministre du Reich pour les territoires occupés de l'Est, soulignait que le nationalsocialisme est une invention allemande et pour cette raison serait un programme pour l’Allemagne et pas pour l’Europe. Il ne laisse aucun doute que l’Allemagne va tenir une position dominante dans une alliance européenne :
„Unsere Bewegung ist [...] darauf bedacht, sich nicht etwa in einen internationalen ‚nationalsozialistischen Bund‘ zu verwandeln, der dann etwas wie ein Kirchenkonzil zu entscheiden hätte, was wahrer und was nicht wahrer Nationalsozialismus sei. Das Urteil über eine solche Frage steht nur uns zu.“17
« Notre mouvement ne pense pas à se transformer en une ‘ union national-socialiste’, qui devrait rendre ses décisions comme un concile d’église, ce qui est le vrai national-socialisme et ce qui n’y est pas. Cette décision est à nous exclusivement. »
Rosenberg, comme Hitler, voyait la future structure de l’Europe en 1934 comme le résultat d’un pacte entre 4 puissances (« Viermächtepakt ») composé des mouvements nationalistes d’Italie, de la France, d’Angleterre et d’Allemagne. Les pays de la mer Baltique (la Finlande, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, et la région de la Danube devraient être inclus pour former une Europe centrale et organique (« organisches Zentraleuropa »)18
Les ambitions des Allemands devenaient plus évidentes si on regardait la situation après les victoires initiales des années 1940 et 1941. On pensait là, à l’intégration du Danemark, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Belgique dans un « Großgermanisches Reich ». Hitler voulait cesser avec, ce qu’il appelait le « Kleinstaatengerümpel », une accumulation de petits Etats.19 Dans le même sens un chef régional du régime nazi à Luxembourg prononçait un discours sur la conception nazie de l'Europe unie.20
« [...] un nouvel ordre des rapports est en train de s'établir en Europe et dans le monde. Cette réorganisation n’est pas le fait de puissances à qui le hasard a permis un jour de remporter la victoire, mais des États qui sont les plus forts, et donc aussi les plus valeureux et les meilleurs du moment. Il ne restera donc pas non plus de problèmes
[...]
1 V. Fréchet, p. 109-117, L’Europe nouvelle d'Hitler ; V. Mazower, p. 149-190, Le nouvel ordre de Hitler 1938- 1945.
2 V. Préambule du Traité sur l’Union Européenne, n° 3.
3 V. Mazower, p. 150.
4 Pour les sources d’images, V. Bibliographie.
5 Friedrich, Europa arbeitet in Deutschland. Sauckel mobilisiert die Leistungsreserven.
6 Toutes les traductions sont des propres traductions de l’auteur sauf s’il est indiqué autrement.
7 Goebbels - Das kommende Europa, p. 319. Traduction anglaise dans : Lipgens, p. 73-76.
8 Rosenberg, Neugeburt Europas als werdende Geschichte, p. 14.
9 V. Fréchet, p. 167.
10 Deutschland ordnet Europa neu. Wien: NSDAP-Gauschulungsamt, April 1942, p. 18.
11 Hoensch, p. 307.
12 Lipgens, p. 9.
13 Fréchet, p. 110.
14 Six, p.13-36.
15 Abréviation pour « Schutzstaffel », mot allemand signifiant « escouades de protection, de traduction littéraire : escadron de protection/protecteur » ou plus couramment échelon de sécurité.
16 Commandant de la Wehrmacht en Norvége dans : Kroener, p. 267.
17 Rosenberg,
18 Rosenberg, Krisis und Neubeu Europas, p. 8-12 et 20-21
19 Gruchmann, p. 120.
20 Neugestaltung Europa, dans Luxemburger Wort. 30.09.1940, n° 274; 93e année, p. 1. Traduit par le CVCE. 10
- Citation du texte
- Philipp Hujo (Auteur), 2007, Les Allemands et l’idée européenne de l’époque wilhelminienne à la fin du IIIe Reich, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/110971
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